Les indiens d’Amérique soutiennent le peuple palestinien
MON GRAIN DE SEL :
Même les AMÉRINDIENS sont pour la libération de la PALESTINE.
Publié par : KAM.
=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=_=
Les indiens d’Amérique soutiennent
le peuple palestinien
L’histoire des Indiens d’Amérique trouve un écho dans celle du peuple palestinien. Le site Info-Palestine.eu témoigne de l’élan de solidarité entre ces deux peuples.
Tony Gonzales, membre du Mouvement des Indiens d’Amérique (AIM), a déclaré :
« En raison d’une histoire commune de bantustans (le premier peuple, le peuple d’origine sur une terre) – les réserves indiennes et les territoires palestiniens encerclés – les indiens d’Amérique comprennent très bien la situation des palestiniens. »
Les amérindiens ressentent de plus en plus d’empathie vis-à-vis des palestiniens et de leur triste situation.
L’Association pour les Études des Peuples Indigènes Américains s’est fait connaître en décembre 2013 en soutenant la campagne palestinienne de boycott contre Israël.
Un article révélateur de l’appui du peuple amérindien aux palestiniens est celui du célèbre avocat Gyasi Ross, intitulé « Pourquoi moi, un Amérindien, je soutiens le peuple palestinien ». Au delà du fait que les Indiens d’Amérique et les palestiniens sont des « peuples autochtones déplacés », l’homme de loi insiste sur la question d’humanité et le sentiment d’empathie dont tout être humain devrait faire preuve :
« Même si beaucoup pensent que ce qui relie les Indiens américains et les Palestiniens est le fait d’être des « peuples autochtones déplacés, » ce n’est pas la raison pour laquelle je me sens proche des Palestiniens.
« Ce qui suscite chez moi un sentiment de fraternité pour mes frères et soeurs de Gaza et de Cisjordanie, c’est un sentiment beaucoup plus primaire et viscéral : la peur ; une peur qui vient de la prise de conscience que ce qui arrive à un groupe d’opprimés va inévitablement arriver à d’autres.
« Les peuples indigènes, comme d’autres groupes opprimés dans le monde sans distinction de race ou de religion, ont grandement intérêt à tirer les leçons des atrocités génocidaires commises par le gouvernement d’Amérique du Nord contre les peuples natifs d’Amérique. Tous ceux qui défendent l’humanité doivent aussi oeuvrer à empêcher ces mêmes atrocités de se reproduire ailleurs, à une autre époque, contre d’autres peuples — et dans le cas présent contre les Palestiniens.
« Les Palestiniens, comme les Amérindiens sont prisonniers sur leur propre terre. Eux non plus n’ont nulle part où aller, personne ne veut les accueillir. Le Liban, la Syrie et l’Egypte se sont tous montrés insensibles aux épreuves des Palestiniens et ils les ont utilisé comme des pions contre Israël.
« Les Palestiniens, comme les Amérindiens, n’ont d’autre alternative que de continuer à être une épine dans le pied de ces gouvernements à la fois apathiques et oppressifs qui sont arrivés au pouvoir par tous les moyens. »
Les Indiens d’Amérique prennent de plus en plus de poids dans le combat pour la paix en Palestine. Ils participent notamment beaucoup aux manifestations en faveur de la Palestine et leur influence s’accroit.
SOURCE : http://www.islametinfo.fr/2014/08/13/les-indiens-damerique-soutiennent-le-peuple-palestinien/
Ah ! notre enfance devant les films westerns !!;les gentils c’etaient toujours les cowboys et bien sur les méchants étaient les indiens.Bref nous sommes maintenant « grands » et on découvre tout le contraire de ce que hoolyhood veut nous faire croire.Les Indiens d’Amérique ont été colonisés,et ceux qui résistaient étaient massacrés.La démocratie était en marche; les colons partis d’Europe ont fait des choses immondes que les merdias ne dénonceront jamais car tous coupables de crimes.Alors cet article,vraiment je ressent ce que ce brave peuple doit ressentir.Qu’ALLAH nous donne à tous,peuples opprimés une bonne issue et victoire prochaine sur les infidèles,Amin Rabbi El Alamin.Salam BLIDEODZ et à bientot,portez-vous bien.
BONSOIR NOORCORAN.
Des mêmes phrases ont etaient prononcées par des officiers superieurs americains et français lors de leurs conquêtes respectifs.
Pour l’amaericains c’etait : UN BON INDIEN EST UN INDIEN MORT.
Pour le francais c’etait : UN BON ARABE ETAIT UN ARABE MORT.
Cela voulait tout dire sur les intentions initiales de ces conquêtes.
Norcoran,
Si les indiens sont solidaires des palestiniens, comment ne pas être frappé par la sagesse de ces peuples indiens qui ont souffert à l’identique, et qui aujourd’hui encore continuent d’être frappés eux aussi dans une moindre mesure de la vindicte du monde anglo-saxon.
La suffisance de l’homme blanc méprise tout ce qu’il ne comprend pas, je ne puis résister à vous communiquer ce texte intitulé : « discours prononcé en 1854 par le Grand Chef Seattle » texte que j’ai découvert en 1970 dans l’ouest Canadien, territoires qui furent le témoin de tellement de barbaries à l’encontre des tribus indiennes.
Ce texte controversé aujourd’hui par tellement de zombis, a le mérite de nous faire toucher la sensibilité des « peuples premiers », qui avaient tellement à nous instruire.
Christian Sébenne
6 juin 2013
La Fraternité, la Sagesse puisée dans la pensée des Amérindiens (Chef Seattle)
Discours du Grand Chef indien SEATTLE « Peut-être sommes-nous frères »
» Chère Chantal, Comme tu m’as laissé entendre
que tu étais en osmose avec les Indiens,
voici une pièce historique incontournable datant de 1854
qui n’a pas perdu une seule ride
et que tout écolo bien né devrait méditer du matin au soir
montrant et démontrant la sagesse du peuple indien.
Amicalement
Christian
Voici une pièce historique incontournable datant de 1854 qui n’a pas perdu une seule ride et démontrant la sagesse du peuple indien.
« PEUT-ÊTRE SOMMES NOUS FRÈRES »
« Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d’acheter notre terre.
« Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu’il n’a pas grand besoin de notre amitié en retour.
« Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l’homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre.
« Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
« Si nous ne sommes pas propriétaires de la fraicheur de l’air, ni du miroitement de l’eau, comment pensez vous nous l’acheter ?
« Le moindre recoin de cette terre est sacrée pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte le souvenir de l’homme rouge.
« Les morts des hommes blancs, lorsqu’ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n’oublient jamais la beauté de cette terre, car elle est la mère de l’homme rouge; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.
« Les fleurs parfumées sont nos sœurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères ; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l’homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.
« Ainsi, lorsqu’il nous demande d’acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous.
« Le Grand Chef nous assuré qu’il nous en réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu’il serait notre père, et nous ses enfants.
« Nous allons donc considérer votre offre d’acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre, pour nous est sacrée.
« L’eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n’est pas de l’eau seulement ; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons notre terre, vous devez vous souvenir qu’elle est sacrée, et vous devrez l’enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l’eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.
« Les fleuves sont nos frères ; ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont nos frères et les vôtres, et l’enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.
« L’homme rouge a toujours reculé devant l’homme blanc, comme la brume des montagnes s’enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte ; ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui, un lopin de terre en vaut un autre, car il est l’étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. Le sol n’est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l’a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s’en soucie pas.
« Vous devez enseigner à vos enfants que la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu’ils la respectent, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux mêmes.
« Nous le savons : la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. Nous le savons : toutes choses sont liées comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses sont liées.
« Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de tissu. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui-même.
« Mais nous allons considérer votre offre d’aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l’écart et en paix. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte ; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leur corps de nourritures douces et de boissons fortes. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours, Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun des enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes ; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d’un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d’espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d’hommes, pas d’avantage. Les hommes viennent et s’en vont, comme les vagues de la mer.
« Même l’homme blanc, dont le Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes nous frères malgré tout ; nous verrons. Mais nous savons une chose que l’homme blanc découvrira peut-être un jour : notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd’hui que vous le possédez comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l’homme rouge et pour l’homme blanc.
« La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets. « Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés de la puissance du Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l’homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère ; nous ne comprenons pas, lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l’odeur des hommes nombreux, l’aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.
« Où est le fourré ? Disparu. Où est l’aigle ? Il n’est plus. Qu’est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C’est finir de vivre et se mettre à survivre.
« Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d’acheter notre terre. Et si nous acceptons, se sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là, peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l’ombre d’un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du cœur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l’avons aimée. Prenez soin d’elle comme nous en avons pris soin.
« Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu’il est au moment où vous le prenez. Et de toute votre force, de toute votre pensée, de tout votre cœur, préservez-le pour vos enfants, et aimez-le comme Dieu vous aime tous.
« Nous savons une chose : notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre.
.
L’homme blanc lui-même ne peut échapper à la destinée commune.
.
PEUT-ÊTRE SOMMES-NOUS FRÈRES. Nous verrons ».
(« Discours de 1854 » – Chef Sealth dit Seattle in Vers un développement solidaire, Lausanne, 1976)
.
http://chantaldupille.over-blog.com/article-la-fraternite-la-sagesse-puisee-dans-la-pensee-des-amerindiens-chef-seattle-118305241.html
Sitting Bull un grand chef indien a dit : Quand le dernier arbre sera abattu, la dernière rivière asséchée, le dernier poisson péché, l’homme va s’apercevoir que l’argent n’est pas comestible.
Merci infiniment pour ce beau texte:beaucoup de finesses et de vérité.Chantal Dupille je l’a connait car je l’a suit sur twitter:une grande dame qui marche droit contrairement à la majorité de ses concitoyens.Merci aussi Mr SEBENNE de m’avoir répondu.je suis optimiste,car ma religion m’apprend à aller de l’avant et ne jamais désesperer.Je vous souhaite à tous une bonne continuation et portez-vous bien.Salam.