Fumer tuerait ? Ah Bon !
Préambule :
Ces dernières années l’on assistes à un tapage tout azimut et sans précédent contre le tabagisme. L’OMS, ainsi que tous les gouvernements, tirent à boulets rouges sur la cigarette.
Serait elle devenue l’ennemi publique N° 1 ?
Pourtant il y en a beaucoup d’autres ennemies, qui sont plus nocifs et mortels que la cigarette. L’ alcool par exemple !!! Les drogues dures !!! Pourquoi ne fait-on pas autant de raffut ?
Si le tabac est aussi dangereux qu’on le dit, pourquoi l’OMS et les gouvernements de tous les pays, n’interdisent ils pas tout simplement sa production et sa consommation ? Ne le peuvent ils pas ? Y a-t-il trop d’intérêt en jeu ?
Ou bien tout simplement » L’ARBRE QUI CACHE LA FORET « . La foret c’est tout simplement la pollution industrielle, la pollution chimique et ….la Radioactivité émanant des différentes centrales nucléaires, des usines ou sont fabriquer les munitions à l’uranium appauvri et l’armement nucléaire.
Lorsqu’un voleur veut entrer dans une maison gardée par un chien, il commence par lui jeter un os pour l’occupé, pendant que lui fait son travail.
Quant au cancer, il fait vivre beaucoup plus de monde, qu’il n’en tue. Comme cité ci-dessous dans l’article.
Publié par : KAM
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En 1982, William T. Whitby, docteur australien écrivit « Vive le tabac », livre où il présentait un certain nombre de données scientifiques contre la propagande anti-tabac qui existait déjà à l’époque depuis de nombreuses années.
Extraits :
« On peut se demander pourquoi un simple médecin a décidé d’écrire un livre pour dénoncer la très sérieuse campagne mondiale anti-tabac ? La réponse est que je ne pouvais plus supporter les inepties et la malhonnêteté de cette campagne. Je ne suis d’ailleurs nullement un «docteur isolé» dans la mesure
où de nombreux médecins me soutiennent. La crainte du tabac est, sans doute, un des plus grands canulars de tous les temps. Pour en apporter la preuve, j’avais placé dans un journal une annonce offrant 10 000 $ à celui ou celle qui pourrait prouver que fumer est bien la source d’une maladie cardiaque ou du cancer du poumon. Personne n’a relevé le défi. »
[…]
« Bien sûr, les «experts», ou ceux qui se disent tels, s’offusquent du fait qu’un modeste généraliste ose remettre en question ce qui est devenu parole d’Évangile. Peu m’importe ! Les puritains ont aussi accusé l’industrie du tabac de m’avoir payé pour écrire ce livre. Quelle plaisanterie ! J’ai bien essayé de les impliquer, leur suggérant de mettre dans chaque paquet une notice dévoilant la supercherie. Je voulais aussi qu’ils fassent le test de la petite annonce offrant une récompense d’un million de dollars, à qui apporterait la
preuve de la nocivité du tabac. J’ai vite compris à travers leurs réponses qu’ils ne feraient rien qui aille à l’encontre de leurs gouvernements respectifs. »
[…]
« Que disaient les Indiens d’Amérique du Nord aux premiers explorateurs : «nous fumons pour calmer notre toux. » Mais pouvait-on croire des « sauvages », même s’ils ne faisaient que relater ce qu’ils avaient observé ? Et fallait-il mépriser leurs coutumes ancestrales, uniquement parce qu’ils n’étaient pas «civilisés », contrairement aux conquérants venus d’Europe ? »
[…]
J’ai proposé à certains de mes patients prédisposés à la bronchite ou à l’asthme, de fumer. Pour ne pas les affoler, je leur ai d’abord conseillé la pipe, mettant en avant le fait que les militants anti-tabac, eux-mêmes,
reconnaissaient qu’elle était peu ou pas nocive. Dans la majeure partie des cas, les résultats ont été remarquables et les malades extrêmement reconnaissants. Par conséquent, certains scientifiques croyant que les bronchites chroniques engendrent souvent le cancer du poumon, il paraît raisonnable de s’en protéger en fumant.
J’ai rencontré bon nombre de praticiens ayant eu la même expérience. L’un deux m’a dit avoir écrit et proposé un article à une revue médicale, mais, comme il s’y attendait, celui-ci ne fut jamais publié. Dans ma jeunesse, les médecins conseillaient fréquemment de fumer pour soulager l’asthme, mais de nos jours ce n’est plus à la mode.
Il est intéressant à ce sujet de lire le rapport du Dr FE Cayley, de la Brighton Chest Clinic, paru dans le British Medical Journal du 14 janvier 1978 et dans lequel il déclare : «Il est maintenant évident que l’allergie de type 3 est plus courante chez les non-fumeurs. On peut en déduire que le tabac crée une couche protectrice de mucus qui empêche les allergènes d’attaquer les muqueuses des bronches. J’ai vu deux patients ce mois-ci chez lesquels se sont manifestées des allergies de type 1 aussitôt après l’abandon de la cigarette. Devons-nous encourager nos patients asthmatiques à fumer ? De nombreux fumeurs atteints de bronchite chronique trouvent que la première cigarette de la journée leur dégage les poumons et les débarrasse de leurs expectorations pour les heures qui suivent.» »
[…]
« J’ai remarqué que les fumeurs ne sont pas aussi hypertendus que les non fumeurs. Cette observation est confirmée par des chercheurs indépendants qui ont découvert que la nicotine réduisait la tension des muscles des parois artérielles commandant la dilatation ou le rétrécissement des vaisseaux. Il en ressort qu’en réduisant la tension musculaire, on réduit d’autant les risques d’artério-sclérose.
Savez-vous que, bien qu’il ne s’agisse pas vraiment de nicotine, l’acide nicotinique est communément prescrit dans le monde entier en cas de problèmes de circulation. Mais le simple mot de nicotine n’est pas acceptable pour les «tabacphobes». Comme on ne peut le remplacer par aucun autre produit efficace, il a été suggéré d’en changer l’appellation afin que les malades ne puissent pas imaginer qu’ils aient été soulagés par la nicotine ! »
[…]
« En 1982, lors d’un congrès médical aux USA, le célèbre professeur GN Schnauzer de l’Université de San Diego a déclaré que l’on savait très bien, et depuis longtemps, grâce à des expériences faites sur des animaux, que certains composants de la cigarette agissaient comme anti-cancérigènes. Il a ajouté que lorsque des éléments cancérigènes connus étaient utilisés, on pouvait arrêter leurs effets en utilisant des composants de la nicotine. On retrouvera les mêmes constatations dans les travaux du Dr Weiss, dont je parlerais plus tard.
Le gouvernement américain ne voulait pas divulguer la conclusion du fameux rapport Framingham qui affirmait que la fumée immunisait contre le cancer du gros intestin. Il fallut attendre 1981 pour qu’elle soit publiée par le
« Journal of the American Medical Association ». On pouvait y lire que le cancer du gros intestin était quatre fois plus fréquent chez les non-fumeurs que chez les fumeurs. »
[…] »Un autre bienfait du tabac est de combattre l’obésité que l’on trouve communément chez les hyper-tendus et chez les cardiaques. »
[…]
« Des scientifiques du King’s College Hospital à Londre, faisant des recherches sur la maladie de Parkinson, furent étonnés de découvrir qu’elle était plus fréquente chez les non-fumeurs. Apparemment, le tabac contient une substance qui prévient cette maladie si courante chez les personnes âgées. »
[…]
« Dans le New Scientist d’avril 1967, le professeur JH Burn d’Oxford écrivait que la nicotine avait des effets bénéfiques sur le cerveau. Il se basait sur des expériences testant la capacité intellectuelle des rats. »
[…]
« En fait par rapport à d’autres maladies, le cancer du poumon est relativement rare. Le risque de l’attraper est minime comparé au risque d’être renversé par une voiture. De plus, ceux qui en sont atteints, ont en général
dépassé la soixantaine. M. Becklake, professeur d’épidémiologie à l’Iniversité de MCGill, a osé poser la vraie question : « pourquoi 99 % des fumeurs n’attrapent-ils pas le cancer du poumon ? » Fumeur ou pas le risque est le même. »
[…]
« Cela fait 300 ans que, régulièrement, le problème des méfaits du tabac, refait surface. Les attaques se produisent par vagues. Il y a 100 ans, alors qu’on n’avait pas encore répandu la peur du cancer du poumon, les journaux médicaux publiaient déjà des lettres pour ou contre le tabac. Cette guerre est donc une vieille histoire »
[…]
« Puis-je demander, enfin, pourquoi il n’a pas été possible d’inoculer le cancer du poumon à des animaux en laboratoires, alors qu’apparemment on y arrive aisément avec d’autres agents cancérigènes. Pourquoi pas avec le tabac ? »
[…]
« Pour le professeur P. Burch de l’Université de Leeds, le cancer est dû à une mutation des cellules des tissus et n’a rien à voir avec le tabac. »
[…]
« Pour qu’une théorie soit scientifiquement valable, il lui faut remplir des conditions précises. Premièrement, le microbe suspecté doit être isolé puis inoculé dans un organisme pour savoir s’il reproduit bien la maladie dont on pense qu’il est à l’origine. Cette dernière étape n’a jamais été réussie dans le cas qui nous occupe, malgré des années d’expériences et de recherches. »
[…]
« La seule évidence, si l’on peut appeler cela une évidence, que possèdent les anti-fumeurs dans leur dossier, est le rapport statistique qui tend à prouver que les personnes souffrant du cancer du poumon sont de gros fumeurs. On serait surpris du contraire, quand on sait que beaucoup fument pour soulager leur toux. Les médecins les moins malhonnêtes reconnaissent qu’il n’existe aucune preuve scientifique. »
[…]
« Il y a quelques années, un médecin écrivait : «Nous savons tous que fumer donne le cancer du poumon. Nous n’avons pas le temps d’attendre des confirmations scientifiques; il faut agir immédiatement. Nous aurons les preuves plus tard.» Accepter cet état de choses, c’est revenir au Moyen Âge, quand les docteurs conseillaient aux populations de ne pas vivre dans les régions de basse altitude car c’était là qu’on y rencontrait le plus de cas de choléra; c’était avant qu’on ne découvre qu’il s’agissait d’un bacille.
[…]
« Professeur MB Rosenblatt, du New York Medical Journal : « Tout cela n’est que fantaisie pure et simple. En effet, cette théorie anti-tabac ne repose sur aucunes données scientifiques.
[…]
« Professeur P Burch de l’Université de Leeds : «établir une relation entre cancer du poumon et tabac démontre une complète ignorance de la logique scientifique. Ce zèle excessif conduit à de curieux raccourcis et à des conclusions prématurées telles celle qui conduit à croire a priori que fumer aurait une incidence sur le cancer du poumon.»
[…]
« Dr RH Mole, du british Medical Research Council : «Les traces d’uranium trouvées chez les mineurs permettent d’exclure le tabac comme principal responsable du cancer du poumon.» »
[…]
« Dr Ronald Okun, directeur de Clinical Pathology à Los Angeles : «En tant que scientifique, je n’ai trouvé aucune preuve convaincante de ce que la cigarette soit la cause du cancer du poumon.»
[…]
« Professeur Epstein de l’Université d’Illinois, non-fumeur convaincu,déclarait : «Il est maintenant admis que la plupart des cancers sont dûs à l’environnement. Pour échapper à leur responsabilité, les industriels ont jeté
l’anathème sur la cigarette. Ce n’est toutefois par le tabac qui explique la progression du cancer du poumon, puisque le nombre de malades atteints par cette maladie a doublé chez les non-fumeurs. »
[…]
« Ce qui aurait dû éveiller les soupçons est la facilité avec laquelle de telles sommes furent consacrées à la cause des non-fumeurs. Les gouvernements ne sont habituellement pas aussi généreux. »
[…]
Serge Gainsbourg
« Autre élément étrange : pourquoi cet intérêt soudain pour préserver la santé des Américains dans un domaine bien précis, le cancer du poumon ? Ce n’est pourtant pas la maladie la plus répandue. En fait, cette campagne intéresse avant tout les gouvernements qui utilisent de plus en plus l’uranium et les grandes sociétés qui ont investi des milliards dans les centrales nucléaires.
Elle n’est pas sans arranger non plus les industriels qui polluent l’environnement, avec leurs produits cancérigènes, qui de ce fait même, n’apparaissent plus comme les responsables essentiels du cancer du poumon.
Les victimes de la radioactivité et leurs enfants ont beau réclamer justice, je parie qu’elle ne leur sera jamais rendue ! »
[…]
« Remarquons enfin que tous les médecins engagés dans la lutte contre le tabac sont soit salariés d’un organisme gouvernemental, soit, tout simplement, fonctionnaire du gouvernement. »
[…]
« Très vite, des voix se sont élevées parmi les scientifiques pour condamner le principe de cette théorie non fondée. Des experts comme Rosenblatt et Hupper ne furent pas entendus tant le battage fait autour de cette campagne était énorme.
[…]
« Ce qu’on peut appeler un lavage de cerveau a été un succès puisqu’il a atteint la plupart des hommes politiques responsables dans les États du monde entier. C’était bien là, d’ailleurs, le but de l’opération.
[…]
« Les médecins aiment se prendre pour des scientifiques : ils semblent oublier qu’un scientifique n’adhère pas à une théorie sans en avoir fait la preuve. »
[…]
« Jack Hoffman, président de l’American Lung Association, déclarait : «Nous pensions que la peur provoquée par la campagne anti-tabac produirait une nette diminution du nombre de fumeurs. Cela n’a pas été le cas. Le seul moyen d’y parvenir serait de rendre l’acte de fumer inacceptable en société.»
C’est ce qu’entreprennent maintenant les anti-fumeurs : transformer les fumeurs en citoyens de seconde zone.
[…]
« Devant le Congrès, l’anthropologue Sherwin J. Feinhandler déclara : «Dans presque toutes les sociétés, de la plus primaire à la plus évoluée, le tabac fait partie intégrante de la vie sociale. Les anti-fumeurs ne peuvent affronter la source d’anxiété que représente la pollution, qu’elle vienne des industries ou des automobiles. Le fumeur leur sert de bouc émissaire. C’est un dangereux précédent pour un gouvernement de prendre parti dans un débat concernant un mode de vie. Cette tentative est, pour moi vouée à l’échec.
[…]
« On ne réalise pas assez que, malgré les vastes progrès accomplis principalement en ce qui concerne le traitement des maladies, les causes véritables d’un grand nombre d’entre elles nous sont encore inconnues, à
l’exception, peut-être, des maladies microbiennes. On ne connaît toujours par l’origine des maladies coronaires, de l’hypertension, des bronchites, du diabète, de l’arthrite et du cancer, bien sûr. Dans ce dernier cas, seuls les médecins anti-tabac en connaissent l’origine… »
« En 1965, le professeur Rosenblatt a écrit dans le « Medical Journal : «les rapports d’autopsies montrent que 25 % des cancers du poumon ne sont que le développement d’un autre cancer.» Il ajouta que, dans un hôpital de New York, sur 493 certificats attestant un cancer du poumon, seulement 44 % étaient confirmés après autopsie. »
« On m’a souvent reproché de prendre part dans cette polémique sur le cancer, alors que je ne suis pas un «expert». Mais, lorsqu’on sait que personne neconnaît véritablement ce qu’est le cancer et d’où il vient, peut-on dire alors qu’il existe vraiment des spécialistes du cancer ? J’ai étudié la relation tabaccancer mieux que quiconque et je ne crois pas qu’il existe un soi-disant expert qui en sache plus que moi. »
« Il est fréquent de voir des «découvertes» publiées dans les journaux médicaux, remises en question par d’autres chercheurs peu de temps après.
Ceux-ci ayant fait les mêmes expériences auront obtenu des résultats totalement différents. Ça arrive tous les jours. Cela n’est pas surprenant, par ailleurs, que des chercheurs, dans leur enthousiasme, truquent les résultats; c’est un fait connu ! Manwell et Baker citent (Search – juin 1981) St JohnRoberts qui, dans le « New Scientist » parle d’une enquête révélant que 32 % des chercheurs transforment les résultats. Ce qui est encore plus étonnant, c’est que sur 185 cas de résultats falsifiés, seulement 10 % des «tricheurs» ont
été licenciés. Nombre d’entre eux semblent même avoir obtenu une promotion ! »
[…]
« Une fois de plus, on s’aperçoit que certains chercheurs servent d’abord les intérêts de ceux qui les financent en leur assurant une bonne situation, plutôt que des intérêts humanitaires. N. Arey a fait remarquer avec humour, à propos de la recherche sur le cancer : «le cancer fait vivre, et bien vivre, plus d’êtres humains qu’il n’en tue.» »
[…]
« Il est clair que le but final des anti-fumeurs est d’obtenir l’interdiction pure et simple de l’usage du tabac et qu’ils dépenseront toute leur énergie pour y parvenir. Je voudrais mettre en garde les fumeurs qui ne semblent pas assez conscients de cette détermination et pensent qu’il ne sera jamais question que
de demi-mesures à leur encontre. »
« Leur stratégie est de procéder par étapes : ils ont déjà obtenu l’interdiction de fumer dans certaines parties des trains, des avions et dans les autobus; viendront ensuite les magasins, bureaux, restaurants et lieux publics. La voiture particulière fera bientôt partie de la liste sous prétexte de pollution atmosphérique. Bien évidemment, il ne sera toujours pas question de mettre en cause les gaz d’échappement de ces mêmes voitures. On en viendra très rapidement à exiger un permis, délivré en bonne et due forme, pour avoir le
droit de consommer du tabac, même chez soi. »
« Dr Joseph Misgerd, président de la Lung Association dans le Maryland, conseillait récemment d’interdire la cigarette à tous, à l’exclusion des intoxiqués chroniques. Ce qui signifie à court terme l’extinction totale de la
race des fumeurs. Il est probable que ce sera ensuite le tour des alcooliques. »
[…]
« On a vu se créer aux États-Unis des associations dont les noms seuls sont significatifs et inquiétants :
– ASH (Action on Smoking and Health).
– SMASH (Smoker Mortification And Smoker Humiliation).
– SHAME (Society to Humiliate, Aggravate, Mortify and Embarrass Smokers).
– GASP (Groupe Against Smoker’s Pollution).
Encore une fois, on peut se demander comment sont financées toutes ces organisations si ce n’est par les fonds secrets de quelques industriels, trop contents de soutenir une propagande qui fait oublier les cancérigènes qu’euxmêmes fabriquent. »
« Le lecteur sera sans doute étonné de savoir qu’il existe aux États-Unis un guide pour les militants anti-fumeurs, véritable manuel de guérilla à l’intérieur duquel on trouve des idées d’armes dissuasives telles que vomir sur les rayons de cigarettes dans les supermarchés, uriner dans les cendriers, faire éclater des boules puantes auprès des fumeurs, ou les asperger de peinture… »
[…]
« Cette guerre menée contre les fumeurs fait penser à celle des Prohibitionnistes qui firent voter le 18e Amendement de la Constitution américaine interdisant la vente d’alcool dans tous les États des USA. Ceci dura
14 années, de 1919 à 1933, et le pays mit une génération à s’en remettre après l’abrogation de la loi. »
[…]
« Une des théories les plus malsaines mise en avant par les anti-fumeurs, est celle dite du «tabagisme passif». Certains médecins de la ligue antitabac ont même avoué qu’elle leur paraissait sans fondement. Mais par ce biais, les farouches militants antitabac essayent de se concilier le soutien des nonfumeurs. »
[…]
« Le professeur AR Feinstein, de l’université de Yale déclarait récemment :
«aucune expérience correctement menée n’a montré que la cigarette provoquait le cancer du poumon chez les animaux.» Il est certain qu’aucune étude sérieuse en laboratoire ne résiste à l’examen. »
[…]
« Le Royal College of Physicians a été très surpris de lire la conclusion de certaines études statistiques démontrant que les fumeurs qui avalaient la fumée étaient moins sujets au cancer du poumon que ceux qui ne l’avalaient pas. C’étaient, en effet, exactement le contraire de ce à quoi on pouvait s’attendre. Évidemment, cette conclusion surprenante et gênante n’a pas été publiée. »
[…]
« Lors de certaines expériences effectuées sur des souris, il s’agissait d’appliquer sur leur peau ce qu’on appelle du goudron, en solution extrêmement concentrée; ce qui provoquait, paraît-il le cancer de la peau. Ce
qui n’a pas été précisé, c’est que la solution de goudron appliquée était l’équivalente de 100 000 cigarettes par jour ! »
[…]
« Un moyen de propagande qu’affectionnent les militants antitabac, tout particulièrement, est la publication de photos de «poumons noircis» qui sont supposés être les poumons de tout fumeur. Le Dr Sheldon C Sommers, éminent pathologiste du Columbia Hospital de New York, a pourtant déclaré :
«Il est impossible de distinguer le poumon d’un fumeur de celui d’un nonfumeur, que cela soit à l’œil nu, au microscope ou par tout autre moyen.» Ces poumons ressemblent plutôt à ceux des mineurs qui sont en contact permanent avec la poussière de charbon. »
« La ligue contre le tabagisme publie aussi des affiches montrant des poumons atteints d’emphysème avec la légende «90 % des emphysèmes sont provoqués par la fumée.» Or tout le monde sait que l’origine des emphysèmes est encore inconnue. »
« Les Dr Stewart, Manusco et Kneale ont constaté une augmentation importante de cancers de toutes sortes chez les employés de l’usine de plutonium de Hanford (Washington); Ils ont reconnu que les autorités
avaient essayé de dissimuler les résultats de leurs études. »
« D’après le Dr Helmut Wakeham, le taux d’oxyde de carbone dans l’environnement d’un fumeur est infinitésimal (« Preventive Medecine » décembre 1977). Il en apporte la preuve en décrivant l’expérience suivante :
Pendant plus d’une heure on a enfermé 21 personnes dans une pièce de 4 mètres sur 5 et de 2,50 m de haut et on leur a fait respirer la fumée de 80 cigarettes et de 2 cigares. Mêmes dans ces conditions extrêmes, le taux moyen de CO dans le sang était de 2,6 % et donc bien au-dessous des 4 % déconseillés par l’OMS. »
[…]
« Il est intéressant de noter que le Dr Doll lui-même a reconnu qu’une atmosphère enfumée ne pouvait pas être nocive pour les non-fumeurs. »
[…]
« Quand au problème des enfants dont les parents fument, de nombreuses recherches ont prouvé que la fumée de cigarette n’avait aucune incidence sur les bronches des enfants. On peut se référer à l’étude de Lebowitz (université d’Arizona) qui a porté sur 1 655 familles ; à celle de Kerrebejin qui, après cinq
ans de recherche, a conclu : « il y a a peu près la même proportion d’enfants avec des troubles respiratoires chez les fumeurs que les chez les nonfumeurs.» »
[…]
« Les avions sont parmi les premiers visés sur la liste des condamnés. Or, l’administration de l’Aviation Civile américaine a déterminé après enquête que le taux de CO dans les avions était inférieur à celui des villes, cela étant dû semble-t-il, au renouvellement de l’air en vitesse de croisière. La seule objection au tabac dans les avions est son odeur. À une époque où l’on envoie l’homme sur la lune, on devrait pouvoir remédier à cela facilement. »
« En Suisse, certains chiffres publiés récemment n’ont pas vraiment fait avancer la cause des anti-fumeurs puisqu’ils révèlent qu’entre 1951 et 1976, le pourcentage de décès dus à des problèmes cardiaques a baissé de 13 % chez les hommes et de 40 % chez les femmes, alors que pendant ce temps la vente de cigarette restait constante. »
[…]
« Le professeur Carl Selzer de Harvard a démontré qu’aucune étude ne permet d’établir un lien entre tabac et infarctus. De plus, une diminution de moitié du nombre de fumeurs chez les médecins britanniques n’a pas modifié leur taux de mortalité. »
[…]
« En Yougolsavie, les gens fument plus qu’aux USA et pourtant le taux d’infarctus ne représente que le quart de celui des États-Unis. »
[…]
« En Finlande, la diminution sensible du nombre de fumeurs s’est traduite par une augmentation des décès dûs aux maladies cardiaques. »
[…]
« En Suède en 1970 et au Danemark, on a pu établir que l’espérance de vie chez les vrais jumeaux est la même si l’un des jumeaux fume et l’autre pas. »
[…]
« Le Lancet du 2 février 1976 a signalé qu’il existait une relation évidente entre les maladies coronaires et le cholestérol : plus le taux de cholestérol est élevé, comme c’est le cas aux États-Unis, plus il y a de risques de problèmes cardiaques. Pendant ces dix dernières années, le taux de mortalité par infarctus a considérablement baissé, surtout chez les femmes, alors que pendant la même période, le nombre de femmes qui fumaient augmentait. »
[…]
« On ne peut nier que certains fumeurs meurent d’infarctus, mais ils y sont certainement moins prédisposés que les non-fumeurs. La preuve en est apportée par le professeur Sterling. Sur 100 malades cardiaques, la
répartition est la suivante (Medical Journal of Australia 1977) :
Hommes :
Non-fumeurs : 4,6
Fumeurs (1/2 paquet par jour) : 3,2
Fumeurs (1/2 paquet à 1 paquet par jour) : 3,4
Femmes :
Non-fumeurs : 5,5
Fumeurs (1/2 paquet par jour) : 2,0
Fumeurs (1/2 paquet à 1 paquet par jour) : 2,2 »
[…]
« Dans le « British Medical Journal » de 1974 on trouve un rapport intéressant de Pollock, confirmé par d’autres chercheurs, montrant un plus grand risque de thrombose (formation de caillots dans les vaisseaux sanguins) chez les non-fumeurs après une intervention chirurgicale. »
[…]
« Notons enfin qu’il est pour le moins curieux que des médecins prescrivent quelques fois de l’acide nicotinique dans certains cas de maladies artérielles ! »
[…]
« Je suis certain que le tabac, en conservant la tonicité musculaire des vaisseaux sanguins, peut protéger de l’artério-sclérrose et de l’hypertension. Ceci est confirmé par le travail de Cooke et des collaborateurs dont j’ai parlé, qui, après avoir étudié 20 000 cas, ont constaté une tension beaucoup plus basse chez les fumeurs que chez les non-fumeurs. »
[…] »En 1979, le Dr Christopher Tietze, statisticien américain très connu, a annoncé que les examens faits dans 21 pays prouvaient que la relation pilule/maladie cardiaque était pour le moins sujette à caution. »
[…]
« Le Dr V Béral lui-même, qui a été un des premiers à faire un rapprochement entre la pilule est les maladies de cœur a écrit : «les problèmes coronaires des femmes qui prennent la pilule n’ont rien à voir avec la cigarette.»
[…]
« En 1964, un éminent statisticien, Yerushalmy, n’a pas pu trouver, malgrè ses longues recherhes, de lien entre le tabac et la mortalité périnatale. En 1968, Mulcahy et Knaggs arrivèrent aux mêmes conclusions. »
[…]
« Au pays de Galles, trois scientifiques de la National School of Medecine ont fait une découverte étonnante. sur la base de 67 000 observations, ils ont rencontré un même taux de mortalité périnatale chez les mères fumeuses que chez les mères non-fumeuses (« British Medical Jouranl »). »
[…]
« Le Dr Bea Van Berg, directeur du Child Health & Development Studies à l’université de Californie, a déclaré qu’après avoir étudié le cas de 15 000 femmes, ils apparaissait que fumer n’augmentait pas les risques d’avortement, de mort à la naissance ou de mortalité périnatale. »
[…]
« Le professeur Epstein insiste sur le fait que la fréquence du cancer du poumon chez les non-fumeurs a doublé ces 20 dernières années et que la responsabilité du tabac a été, de ce fait, largement, surestimée. »
[…]
« Dans le New Jersey, région très industrialisée, on note un taux de cancer du poumon de 64 % plus élevé que dans le Wyoming, où il y a beaucoup moins d’usines. »
[…]
« Il y a longtemps que l’on sait que l’amiante est mortelle puisque, dès 1918, les compagnies d’assurance refusaient d’assurer les ouvrier exposés à l’amiante. »
[…]
« La radioactivité provenant des explosions atomiques, des centrales nucléaires et des mines d’uranium est le premier incriminé pour les cancers.
Dernièrement, on a découvert que la fumée dégagée par les centrales fonctionnant au charbon, était radioactive. Il en est de même pour les radiographies pulmonaires. »
[…]
« Les enfants dont les mères ont subi des rayons X avant la conception ont trois fois plus de chance d’être atteints par le cancer que les autres. »
[…]
« Dans le British Medical Journal du 26 février 1977, le Dr Calwell rapporte que, lors d’une enquête, 12 000 Semaïs (tribu malaise où l’on commence à fumer dès l’enfance) ont été radiographiés et aucun d’entre eux ne présentait de symptôme cancéreux. Chez les Esquimaux qui sont également de gros fumeurs, le cancer du poumon ne s’est jamais manifesté. »
[…]
« L’agent cancérigène produit par le tabac serait le benzopyrène. Si il en est ain si, pourquoi les habitués de la pipe, comme nous lavons déjà vu, sont-ils moins sujets au cancer du poumon alors que la pipe dégage 9 fois plus de benzopyrène que la cigarette ? »
[…]
« Le professeur Pybus, de l’université de Newcastle-Upon-Tyne, a signalé qu’en Angleterre, la fumée de charbon dégageait 375 tonnes de benzopyrène par an, alors que tous les fumeurs réunis n’en exhalent que 4 kilos pendant la même période. Pour le Dr Paul Kotin, pathologiste américain, un camion diesel répand en une minute autant de benzopyrène que 350 000 cigarettes. »
« On peu donc en conclure que si le benzopyrène est le coupable, il y en a tellement dans l’atmosphère que cela ne change pas grand chose si l’on fume ou non. »
[…]
« En Hollande, pendant la guerre, la consommation de tabac était pratiquement nulle, le taux de progression de cancers du poumon n’a pas chuté, mais s’est au contraire élevé très sensiblement. »
[…]
« Les décès dûs au cancer du poumon ont plus que doublé depuis 1945. Or chacun se souviendra que 1945 était une année tristement célèbres à cause de la bombe atomique. Il est maintenant démontré et scientifiquement prouvé que la radioactivité engendre le cancer et plus particulièrement celui du
poumon. »
[…]
« Dans les années 50, les expériences atomiques qui ont eu lieu dans le Nevada, ont entraîné une augmentation très sensibles des de cancers chez les habitants de cette région. »
[…]
« Lorsqu’on a commencé à remarquer le nombre important de cancer du poumon chez les mineurs travaillant dans les mines d’uranium, quelques médecins bavards et prétentieux ont déclaré : «bien sûr, c’est le tabac !» Très
vite, ils ont dû admettre que cela n’avait rien à voir puisqu’il s’est avéré que la
plupart de ces malades ne fumaient pas. »
[…]
« Les scientifiques Eisenbud et Petrow ont fait une découverte surprenante et très significative : le charbon brulé dans les centrales électriques dégage de la radioactivité. De plus, cette radioactivité serait beaucoup plus toxique que celle dégagée par les centrales atomiques. Ce serait le fameux «facteur
britannique » puisque depuis deux siècles les Britanniques sont exposé à cette radioactivité provenant de ses milliers d’usines de charbon. »
[…]
« Bien avant que l’on sache que leurs fumées étaient radioactives, on accusait déjà en Angleterre, les usines d’être à la source des maladies pulmonaires. En 1957, le taux de décès pour bronchite était de 87 pour 100 000 habitants, alors qu’aux États-Unis, il était seulement de 2,8. c’est une différence considérable. L’Angleterre détient également le triste record des morts par cancer du poumon : 60 à 70 pour 100 000 habitants contre 30 à 40 aux ÉtatsUnis. »
A reblogué ceci sur suzanne35et a ajouté:
fumeuse, je sens bien que les non-fumeurs nous enfument!
ILS NOUS ENFUMENT ET NOUS ENTUBE.