Le Grand Procès des Banques

MON GRAIN DE SEL:

LES GUERRES !!! DE TOUT TEMPS ELLES ONT APPORTER MORT ET DÉSOLATION.

MAIS SI ELLES LAISSAIENT DES RUINES DERRIERES ELLES. IL Y EN D’AUTRES QUI S’ENRICHISSENT A OUTRANCE SUR LE DOS DES MALHEUREUSES VICTIMES.

Publié par :  KAM.

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LES AVEUX DU GÉNÉRAL BUTLER

13 octobre 1933

par Grégoire Seither

A l’Académie militaire de Washington, le major-général Smedley Butler déclare : « Cela fait 33 ans que je sers chez les Marines et il n’y a pas une méthode utilisée par les gangsters que nous n’ayons utilisée et perfectionnée. Eux utilisent des voyous pour faire peur et éliminer, nous, nous sommes les voyous, les hommes de main du « Big Business », de Wall Street et des Banques. J’ai fait le coup de poing contre le Honduras pour le compte des Compagnies fruitières en 1903. J’ai racketté le Mexique et Tampico pour le compte d’American Oil en 1914. J’ai fait le coup de feu à Haïti et Cuba pour que les gars de la National City Bank puissent y ramasser le pognon. J’ai secoué et vandalisé une demi-douzaine de pays d’Amérique Centrale pour qu’ils se soumettent au racket de Wall Street. J’ai nettoyé à la sulfateuse le Nicaragua pour le compte de Brown Brothers en 1912. J’ai foutu le feu à la République Dominicaine pour American Sugar. En Chine j’ai fait le garde du corps pour Standard Oil et j’ai éliminé ceux qui couinaient. Comme le disent les gars d’Al Capone, j’avais une bonne petite affaire… d’ailleurs, Al Capone est un minable comparé à l’US Army. Lui contrôlait au mieux trois districts de Chicago, nous, nous contrôlons et rackettons trois continents ! »

Extrait du livre Le Grand Procès des Banques, disponible sur benperi

Le Général Buttler : « Une race maîtresse… destinée à diriger les autres races »

 Première déposition au Grand Procès des Banques.

Le greffier se lève :

– J’appelle à la barre Le Général Smedley Buttler

Le premier témoin convoqué à la barre se présente dans son uniforme de Général des Etats-Unis.

– Bonjour mon Général. Il vous a été demandé de venir témoigner, dans ce procès, du « Warbiz », le business de la guerre. Que pouvez-vous nous en dire ?

– Ah ! Le Warbiz est en fait le plus vieux métier du monde…
Il marque une hésitation : Après l’autre plus vieux métier, bien sûr !
Je veux dire que c’est le plus vieux métier qui fasse appel à l’intelligence… Je dirais même à plusieurs formes d’intelligence !
Il a été inventé par des êtres hautement « supérieurs », issus de la race maîtresse… Ces êtres supérieurs entendent par là, « la race destinée à diriger toutes les autres races… »
Cette race a élevé à un niveau très supérieur à l’intelligence moyenne par une recherche permanente de la perfection intellectuelle grâce au croisement et une sélection génétique des plus intelligentes !
Ceci est un fait reconnu de tous les ethnologues.

Le fondateur de cette race maîtresse est un petit fils de Noé, issu de la lignée de Japhet, le benjamin des trois fils de Noé, sauvés de la disparition par l’arche de Noé, lors du grand déluge. C’est donc à la base un japhétite, qui n’a rien à voir avec la lignée d’un autre fils de Noé ; Shem, qui a formé la lignée d’une race inférieure appelée Sémites, ou « ces Mites », des animaux sans intérêt, comme aiment à les appeler avec dédains leurs cousins japhétites…
Quelques siècles plus tard, un descendant japhétite nommé Goldstein (la pépite d’or) a découvert le plus grand filon du monde, un filon nommé « Warbiz », capable de lui procurer tout l’or du monde !

Son invention, satanique il faut bien le reconnaître, consistait tout simplement à faire circuler des rumeurs, en fait de fausses informations, destinée à faire se dresse les uns contre les autres, seigneurs, princes et rois… Tous ces gens qui, pour régner, exploitaient un autre très ancien business, celui de la « Protection » ; c’est-à-dire « travaille pour moi, donne moi le fruit de ton travail et je te protègerai… » !
D’ailleurs, monsieur le juge, je ne sais pas si vous l’avez remarqué, mais on assiste à un renouveau de ce commerce, dans lequel les gouvernements, et en particulier, celui de mon pays, ne savent plus quoi inventer pour vendre leur protection ! AQUSAI, AQIRI, AQMI, AQANI, AQIWH, AQIWAM, AQFSBI (ex AQKGBI), AQICIA (que le Général prononce aquissia), AQIFBI (que le Général prononce aquif-bi)…
Le juge interrompt ; « Pouvez-vous nous dire à quoi correspondent ces sigles… »

– Bien sûr, monsieur le juge. La racine AQ désigne la nébuleuse « Al Qaeda ». En effet, aujourd’hui il convient de dire « Nébuleuse » et non plus « Multinationale », car une multinationale, sans siège social dans un quartier très chic, sans immeubles, sans bureaux, sans boîte postale, sans le moindre compte en banque, ça finissait par faire un peu ridicule… Nébuleuse, présente l’avantage d’être plus flou, plus vague. Et puis, les inventeurs de l’AQMI, par exemple, avaient du mal à faire croire à la présence d’immeubles ou même de bureaux, et de terminaux Internet qui permettent à tout moment d’envoyer des communiqués de presse à la chaîne de télévision Al Jazeera, au Qatar, depuis des 4×4 en plein cœur du désert, qui se ravitaillent dans des stations services secrètes, donc souterraines, sans être immédiatement repérés par les centaines de satellites qui surveillent la terre. Tout ça parce que pour ce qui est de la présence de bureaux d’Al Qaeda, dans les pays du Maghreb, à cette époque, il fallait être technocrate et n’y avoir jamais mis les pieds pour croire qu’une telle présence y était possible… !

Les différentes déclinaisons, correspondent chacune à l’endroit dans lequel Al Qaeda est supposé opérer… AQUSAI pour Al Qaeda aux USA Islamiques, AQIRI pour Al Qaeda en Iraq Islamique, AQMI pour Al Qaeda au Maghreb Islamique, AQANI pour Al Qaeda en Atlantique Nord Islamique… etc.

– Et les derniers que vous avez cité ?
– AQIWH, AQIWAM, AQFSBI (ex AQKGBI), AQICIA, AQIFBI ? Ces cinq là monsieur le juge, je n’ai pas le droit d’en parler, ils sont classés, « Secret Défense ! », dans les 80 pays qui ont été placés sous contrôle direct de la CIA par l’intermédiaire du Worldwide Attack Matrix.
– The WAM en Anglais ?
– C’est exact, monsieur le juge !
– Je vous remercie, je viens d’en trouver un, pense je juge intérieurement :
« Al Qaeda of the Islamic Worldwide Attack Matrix » !
Et maintenant que j’ai compris que les autres racines, à part AQMI, sont en Anglais, j’ai aussi trouvé « Al Qaeda of the Islamic White House », « Al Qaeda of the Islamic CIA » et « Al Qaeda of the Islamic FBI »… !
Après un moment d’intense réflexion, ou la salle toute entière s’évertue à percer les mystères AQIWH, AQIWAM, AQFSBI (ex AQKGBI), AQICIA, AQIFBI, le Général Buttler reprend :
– Monsieur le juge, si vous le permettez, la famille dont je vais vous parler ayant changé de nom si fréquemment à travers les âges, je vais y accoler une racine pour que tout le monde puisse savoir que je parle bien toujours de la même famille, la racine Warbiz.

– Je vous en prie mon Général.
– Ainsi donc, au 8e siècle de notre ère, le fondateur de ce qui deviendra plus tard une dynastie, Monsieur Goldstein-Warbiz passait son temps à faire des allers-retours entre seigneurs, princes et rois, répandant des rumeurs : « Monseigneur j’ai ouis dire que votre voisin seigneur est en train de lever une armée pour vous attaquer, et qu’il compte vous déposséder de vos richesses et en particuliers de vos serfs, qui vous procurent gratuitement toute la nourriture et le travail de force dont votre cour à besoin… Je connais la taille de son armée (et pour cause, c’est moi qui l’ai levée et qui la finance !) et je vous conseille d’en lever une plus forte encore… »
– Mais mon bon Goldstein, comment pourrais-je lever une armée, vu l’état de mes finances ?
– Cela ne dois pas être un problème mon bon Prince, je suis votre ami, je suis donc prédestiné à vous aider… Je vais lever pour vous l’armée dont vous avez besoin pour battre à coup sûr votre ennemi, pour que vous restiez vivant, et preniez possession de ses terres… Voilà, tenez, signez là, car l’affaire presse…
Vous me paierez plus tard !
– Quoi ! Mais ce que je vous devrai est exorbitant !
– Vous avez le choix, si vous préférez finir écartelé, empalé, ou pire, dans un cul-de-basse-fosse, il n’en tient qu’à vous…
– Certes, mon bon Goldstein.
– Signez !
– Tout de suite mon ami, je vous en saurai gré toute ma vie.
Le juge s’enquiert : « Et ça marchait ? »
Dire si ça marchait ! Seulement quelques siècles plus tard, la famille Goldstein-Warbiz, changea de nom pour adopter celui de Goldberg-Warbiz (la montagne d’or) ! Elle en profita pour se présenter comme « prêteur sur gages », et plus tard, comme « changeur d’or » ! Lorsque l’on demandait à ceux qui gagnaient les guerres comment ils faisaient pour les financer, la réponse était invariablement ; « J’ai gagé mon château, mes terres et mes serfs, chez Mon Oncle… » !

Cette famille changea à nouveau de nom lorsqu’elle migra à Venise ou elle fût connue un temps, comme la famille Del Banco-Warbiz. Mais le business de la guerre était tellement ancré dans ses gênes, que son passage dans la cité des Doges fut pathétique et qu’elle fut contrainte d’en repartir très vite, pour éviter que seigneurs et Princes ne finissent tous dans un gigantesque bain de sang ! Cette famille changea à nouveau de nom lorsqu’elle migra à Venise ou elle fût connue un temps, comme la famille Del Banco-Warbiz. Mais le business de la guerre était tellement ancré dans ses gênes, que son passage dans la cité des Doges fut pathétique et qu’elle fut contrainte d’en repartir très vite, pour éviter que seigneurs et Princes ne finissent tous dans un gigantesque bain de sang ! Elle fuit en Germanie, ou elle réapparaît sous un nom de gardien de vaches : Bauer-Warbiz, en Français, Bouvier, ou encore, « Cow-boys » aux Etats-Unis. A l’évocation du mot « Cow-boys », la salle éclate de rire, rire qui s’estompe rapidement devant la tête du juge.

– Incontestablement le plus connu des membres de la famille « Warbiz », fut Mayer Amschel Bauer-Warbiz qui changera, une fois de plus de nom, et adoptera enfin celui de Rothschild-Warbiz, qui allait s’imposer comme celui de la dynastie la plus riche et la plus influente du monde. C’est à cette époque que la famille entreprend une diversification qui s’avèrera stratégiquement très payante. Elle crée le premier réseau de « courriers express », dont certaines filiales, comme en Amérique, deviendront « Fédérales ».
En s’octroyant le privilège de lire les courriers qu’elles transportaient, ces sociétés donnaient toujours un avantage décisif à la famille Warbiz, qui était toujours informée avant quiconque des décisions importantes et des petits et grands secrets de tous. Cette pratique s’est sophistiquée au cours des siècles pour être aujourd’hui, grâce à l’utilisation des nouvelles technologies, et de petites astuces, le système d’information le plus efficace et le plus discret !

Le juge interrompt le Général.
– Comment pouvez-vous affirmer que les courriers transportés sont toujours lus de nos jours, les enveloppes de ces sociétés de courses sont scellées, il est impossible de les ouvrir sans les déchirer !
– Monsieur le juge, effectivement, les clients, scellent naïvement les enveloppes dans lesquelles ils placent leurs précieux contenus, et il est impossible d’ouvrir les dites enveloppes, sans les déchirer. Il est même impossible d’y apposer un tampon ou un cachet, car les plastique utilisé est étudié pour ne pas permettre l’apposition d’encres ! Et… ces enveloppes sont effectivement découpées dans les centres de tri internationaux situés au cœur des aéroports, les documents sont alors digitalisés, puis soigneusement replacés à l’intérieur d’enveloppes toutes neuves… les papiers de transit replacés dans la petite pochette en plastique transparent de la nouvelle enveloppe… et ni vu ni connu, je t’embrouille… Personne n’y voit que du feu… !
Je sais d’autant plus de quoi je parle, qu’un jour où j’habitais aux Canaries, mon lunetier parisien « Grand Optical » m’avait adressé une paire de lunettes au moyen de l’une de ces sociétés de course rapide. J’ai bien reçu ces lunettes, mais 5 jours plus tard… et dans une enveloppe… espagnole, alors que bien entendu, l’enveloppe originale était bel et bien Française… !
Cette pratique qui perdure, remonte à plusieurs siècles, lorsque les cachets de cire se brisaient malencontreusement pendant le transport… !
– Et vous pensez que les ordres que nous recevons de la chancellerie ou de la Présidence sont également ouverts et scannés ?
– Ces courriers font l’objet d’une attention toute particulière et sont, sans doute, parmi les tout premiers ouverts et scannés…
Le juge bondit en entendant ces mots :
– Mais c’est un scandale d’ouvrir ces courriers qui contiennent les recommandations les plus confidentielles…
Puis le juge marmonne : Alors ils savent tout sur les décisions que l’on nous demande de prendre !

Puis il se ressaisit et invite le témoin à poursuivre :
– Pardonnez-moi de vous avoir interrompu. Vous pouvez poursuivre.
– De nos jours, le business de la guerre est de très, très loin le business le plus rémunérateur. C’est un vrai « pousse au crime contre la paix ! » Dans les business traditionnels les profits s’élèvent généralement à 8, 10, voire 12% nets, mais dans le business de la guerre, les marges peuvent atteindre 800%, voir plus… Le ciel est la limite ! Ces limites sont fixées entre coquins, pardon, ma langue a fourché, je voulais dire : copains ! Tous ces gens qui jouent en permanence au jeu des chaises musicales au sein du Triangle de fer, c’est-à-dire entre les postes dans l’industrie de la guerre et de la reconstruction, au Pentagone et auprès des membres du Congrès…

Si l’une des horreurs du Warbiz est d’être générateur de millions de morts… Hélas on ne fait pas de belles omelettes sans casser beaucoup d’œufs, un bien plus grand scandale existe, caché aux yeux du public, dont personne ne parle jamais. Celui de la concurrence terriblement déloyale que génèrent toutes les sociétés qui vivent du Warbiz, comme d’énormes sangsues, et qui utilisent ces outrageants profits, pour damer le pion aux autres sociétés commerciales.

Ces champions de la concurrence déloyale se nomment ; KBR (Kellogg, Brown, Root, ancienne filiale d’Halliburton), un des tout premiers sous-traitants de l’armée américaine, qui monopolise le marché des céréales, Boeing celui des avions, Coca Cola, celui des sodas, IBM, celui des grands systèmes informatiques, Dell celui des ordinateurs de bureau et des portables, HP, celui des imprimantes et des cartouches d’encre, MacDonald, celui de la restauration rapide, Ford et General Motors, celui de l’automobile, Alcan, celui de l’Aluminium, etc., etc., etc.

Au train où vont les concentrations, il n’existera bientôt plus qu’une douzaine de multinationales, qui auront absorbé toutes les marques et toutes les sociétés concurrentes, grâce à la complaisance coupable du gouvernement américain. Complaisance toute relative, puisqu’en fait, toutes ces somptuaires dépenses aux marges colossales, sont débitées sur les comptes des contribuables américains… à grands coups de centaines de milliards de dollars… émis à crédit… et savamment orchestrées par la Réserve Fédérale américaine, cette filiale de la « London Connection », autrement dit, de la famille Rothschild-Warbiz & Co… !

Et quand la concentration sera achevée, il n’existera plus aucune concurrence. Les prix de tous les produits dépendront alors de la mégalomanie des dirigeants de ces quelques multinationales, sans aucun frein, ni aucune limite objective, comme cela commence à être le cas aujourd’hui.
– Je vous remercie mon Général, vos explications ont été fort claires et elles seront très utiles à la Cour pour estimer les menaces et les préjudices causés à la communauté mondiale.

(Extrait du livre La Grand Procès des Banques, disponible sur benperi.eu)