UN DOCUMENT IMMONDE ??? POURQUOI ?

MON GRAIN DE SEL  :

Tout de suite les gros mots. Dés que quelqu’un dit la VÉRITÉ, c’est l’artillerie qui sort. Un article pareil, taxé de document immonde ?

En quoi est-il immonde ? Tous ceux qui l’on lu, l’ont apprecier à sa juste valeur. C’est vrai ce qu’il dit. Sauf pour le site israelien Alliance.fr, qui la reprit.

Comme on dit : LES GOUTS ET LES COULEURS SA NE SE DISCUTE PAS.

Et aussi : QUI SE SENT MORVEUX SE MOUCHE.

Publié par  :  KAM.

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UN DOCUMENT IMMONDE ??? POURQUOI ?

Voici un document immonde qui circule sur le site volkermord.com,

un site nazi en anglais avec photo d’Hitler etc…

ILS SONT PARTOUT ! Les Juifs qui dominent et détruisent la France La population juive en France est constituée par des vagues d’immigration successives et par leurs descendants. La Révolution Française a émancipé (1790-1791) environ 40.000 Juifs; cependant en 1866, 89.000 Juifs vivaient en France. A cette époque, les principales sources de l’immigration juive étaient les Lander allemands. En 1870, l’Alsace et une partie de la Lorraine où habitait alors la majorité des Juifs français ont été annexées par l’Allemagne. Des Juifs alsaciens et lorrains rejoignent certes la France « de l’intérieur » mais le recensement de la population française de 1872 – le dernier qui enregistre dans l’hexagone l’affiliation confessionnelle – comptait seulement 49.000 Juifs.

Toutefois la population juive augmente rapidement : on l’estime vers 1900 à 71.000 personnes, en 1919/1920, après le retour de l’Alsace-Lorraine à 150.000 et en 1940 à 250.000 à 320.000 personnes dont les deux tiers étaient des immigrés plus ou moins récents. Entre 1870 et 1914, l’immigration juive était surtout originaire de Russie, de Pologne, d’Autriche-Hongrie, de Roumanie. Entre les deux guerres, 70.000 Juifs sont arrivés en France. Cette immigration était ashkénaze. Mais à la même époque 15.000 Juifs séfarades nés dans Afrique du Nord s’installent également en France. Après la prise du pouvoir par Hitler en 1933, environ 50.000 juifs allemands puis autrichiens et tchèques ont cherché refuge en France. Avant l’invasion allemande, on estimait à 300.000 le nombre de Juifs, toutes nationalités confondues, vivant en France.

Pendant la deuxième guerre mondiale, 76.000 Juifs ont été déportés de France. 2.500 sont revenus. A ces victimes il faut ajouter les morts de la guerre. Au total, 80.000 à 90.000, Juifs de France ont péri entre 1940 et 1944. Aussi, à la fin de la Deuxième guerre mondiale, on estime à environ 180.000 à 200.000 le nombre de Juifs en France.

Dès 1945, l’immigration juive reprend: pendant la première décennie après la guerre, arrivent des détenus des camps de concentration et des personnes dites « déplacées » qui fuient l’Europe orientale et centrale où leurs communautés ont été détruites ainsi que la prise du pouvoir par les communistes dans les pays d’Europe de l’Est.

Entre 1955 et 1965, on assiste à l’arrivée massive des Juifs d’Afrique du Nord à la suite de la décolonisation de la Tunisie, du Maroc et de l’Algérie. De plus, après la création de l’Etat d’Israël (1948) et après l’expédition israélo-franco-britannique de Suez (1956) arrivent des Juifs d’Egypte.

Pendant cette décennie (1955-1965), la France a été le principal pays d’accueil d’immigrants juifs de la diaspora. Sa population juive a doublé passant à environ 500.000 personnes, niveau qu’elle conserve jusque dans les années 1980/90. Grâce aux naturalisations et à l’acquisition de la nationalité par le droit du sol, au moins 95% des Juifs de France sont aujourd’hui des citoyens français.

Les Juifs dominent la France Dans la vision du monde des Juifs, le goy (goyim au pluriel) est le non-juif. Il est considéré comme une bête. D’après même Le Talmud, de loin le plus influant des textes sacrés du judaïsme, il vaut moins qu’un chien. Sa seule vocation est donc de servir son maître Juif sans jamais pouvoir se plaindre. Autrement, il passe pour « raciste », « antisémite » et les Juifs feront tout pour lui en faire subir les conséquences.

En démocratie, l’information est censée être libre et plurielle. En réalité, les médiats importants sont entièrement entre les mains des Juifs, et ce dans pratiquement tous les domaines. Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades, au pire des monstres incarnant le diable. L’antisémitisme serait le mal absolu et, désormais, l’antisémite c’est celui que les Juifs n’aiment pas.

J.-P. Elkabbach, Serge Moati, Jérôme Clément/Lehmann, Michel et Marie Drucker, Michel Polac, Alexandre Adler, Rotman, Paul Nahon, Bernard Benyamin, Patrick « de Carolis », Ivan Levaï, Paul Amar, Kravetz, Emmanuel Chain, Morandini, Arthur, Anne Sinclair, Beatrice Schönberg, Daniel Schneidermann, Michel Field, Pinto, Kieffer, Nakad, Mano, Namias, Hulot, Allal, Fogiel, Galzi, Abitbol, Laurent Weil, Cymes, Beigbeder, Elkrief, Collaro, Gérard Miller, Benjamin Castaldi, Daniela Lumbroso, Dominique Farrugia, Serge Adda, etc. Autant de noms de responsables et animateurs juifs de la télévision (et/ou de la radio) qui déterminent le choix des programmes et leur mode de présentation. Les membres d’un réseau virtuel qui, par-delà les particularités ou même de sourdes rivalités internes participent à une même dynamique au profit d’un objectif commun.

A France Culture, Laure Adler et ensuite David Kessler veillent sur les intérêts d’Israël et de la « communauté ». A France-Inter et RFI, c’est Gilles Schneider. A Europe 1, c’est J.Abergel.

Et il en est de même si l’on se tourne vers la presse « libre et démocratique » : L’Évènement du Jeudi(disparu en 2000), de Georges-Marc Benhamou et d’Annette Kahn, Marianne, de J-F. Kahn ; Le Nouvel Observateurde Jean Bensaïd dit Jean Daniel ; L’Express, de Servan-Schreiber à Denis Jeambar ; VSD, fondé par Maurice Siegel ; Télérama de Marc Jézégabel et Cie ; Courrier international d’Alexandre Adler puis de Bernard Kapp, Libération de Serge July et des Rothschild. Le plus gros actionnaire du journal Le Monde est Alain de Gunzburg, gendre du milliardaire Edgar Bronfman (N°1 mondial de l’alcool et pdt du Congrès juif mondial). Son principal « surveillant » en est Alain Minc. Le groupe Socpresse de Serge Dassault (Bloch, dit), dit contrôle Le Figaro (où sévit également Alain-Gérard Slama), Spectacle du Monde, Valeurs actuelles, L’Expansion, TV Magazine et plusieurs journaux régionaux (La Voix du Nord, Le Progrès de Lyon, Le Dauphiné libéré, etc.). On peut aussi citer Paris-Match d’Alain Genestar , Lire de Pierre Assouline. Le Nouvel Economiste de Jacques Abergel. Le Point de Franz-Olivier Giesbert. Les Echos des Servan-Schreiber et d’ Erik Izraelewicz.

Côté livres, les Editions du Seuil du groupe La Martinière (détenu p rincipalement par les frères Wertheimer), Odile Jacob, tout comme Calmann-Levy, La Découverte (ex-Maspero), les Editions de Minuit, Nathan ou Denoël d’Olivier Rubinstein sont également juives.

Ce ne sont là que quelques exemples, parmi une multitude d’autres. En moyenne, un quart à un tiers des nouvelles parutions disponibles en librairie, en particulier pour les essais et les études socio-politiques sont signés par des auteurs juifs.

Visiblement, en France, il faut bien plus que du talent pour réussir à se faire éditer !

Pour le cinéma également, la domination juive est écrasante. En fait, à l’échelle de la France, elle est au moins aussi importante que celle de leurs congénères sur le cinéma américain.

D’innombrables talents sont ainsi étouffés par leur monopole. Mais on bat la grosse caisse, on crie au génie pour tout ce qui porte l’estampille judaïque : Goldman, Bruel, Daho (Dahan), Chedid, Feldman, Boujenah, Jonasz, CharlElie Couture, Tom Novembre, Michel Polnareff, Dany Brillant (Cohen), Ophélie Winter, Ariel Wiezman, Daniel Cohen, Kaplan, Nataf, Salomone, Kazan, Maurice Szafran, Daniel Emilfork, Michael (Bena)Youn, Elie Kakou, Cédric Klapisch, Mocky, Diane Kuris, Sapho (Danielle Ebguy), Vanessa Guedj, Oury, Bacri, Ary, Bénichou, Shirel, Sabbag, Larusso, Ramzy Bedia, Gozlan, Elie Semoun, Valérie Zarrouk, Lindon, Halimi, Agnès Jaoui, Elsa Zylberstein, Frédéric Diefenthal, Axel Aïdan, Gad El Maleh, Jenifer (Dadouche-Bartoli Jenifer Yaël), Jacob, Bismuth, Chemla, Brami, Haddad, Marouani, Solal, Shapiro, Levy, Levi, Meyer, Attal, Dreyfus, Simon, Besnainou, Kagan, Nahmias, Bloch, etc…

Toutes les associations dites « sans frontières » (à l’exception de Reporters sans frontières ?) sont également dominées par des Juifs. Et il en est de même des plus puissantes organisations « antiracistes », ayant pour vocation (subventionnée par l’Etat!) d’exercer la terreur au service de la « pensée unique » : Ligue des Droits de l’Homme, LICRA, MRAP (regroupant des Juifs communistes avant d’être plus ou moins « récupéré » par des Maghrébins pro-sionistes), SOS-Racisme (instrument de manipulation des Noirs et des immigrés maghrébins fondé notamment par Laurent Fabius et Julien Dray).

En France, outre les patronymes d’origine biblique, la plupart des noms de « Français » à consonance polonaise ou germanique peuvent appartenir à des Juifs, sauf dans le cas des Alsaciens et Mosellans. Il faut aussi faire attention aux noms à consonance russe ou anglo-saxonne. Il ne faut pas oublier enfin que de nombreuses familles juives ont réussi à adopter des patronymes typiquement français, surtout depuis 1945. Lorsqu’ils portent un nom qui n’évoque en rien leurs véritables origines, les Juifs s’arrangent pour afficher au moins un prénom biblique (genre David, Daniel, Michael, Nathan, Benjamin, Simon, etc.) qui peut, à l’occasion, servir de signe de reconnaissance. Ainsi, dans les affaires par exemple, décliner ce genre de prénom au téléphone aide beaucoup à faire avancer les choses lorsque l’interlocuteur est lui-même juif.

Les patronymes à consonance « orientale », comme ceux commençant pas « Ben- » ou « El- » sont également juifs, surtout lorsqu’ils sont associés à des prénoms de type européen ou biblique.

Notez les noms des producteurs au bas des affiches de cinéma : vous retrouverez les mêmes noms que sur les plaques d’immeuble des dentistes, médecins, avocats, notaires.

Pour mémoire, rappelons aussi qu’aux USA, les Juifs contrôlent la plupart des médiats influents, qu’il s’agisse de la presse écrite, de la télévision, du cinéma ou, de plus en plus, internet. Le New York Times, Washington Post, International Herald Tribunes, Wall Street Journal, USA Today, Newsweek, New York Post, People, Sports Illustrated, Cosmopolitan, et d’autres leur sont ainsi entièrement dévoués. Et il en est de même des groupes Time-Warner (AOL, CNN, Home Box Office, Warner Bros, Time Inc., New Line Cinema, etc.), Viacom-CBS (Paramount, CBS, UPN, MTV, BET ou Black Entertainment Television pour mettre en condition les Noirs, Showtime, Sundance Channel, etc.), ABC-Disney, Fox Entertainment Group (Fox News, Twentieth Century Fox, National Geographic Channel, etc.). Et ainsi de suite.

Hollywood, on le sait a toujours été un fief des Juifs, à tous les niveaux. Hollywood Premier, le magazine du cinéma de Michael Salomon a publié (avril 2001) la liste des  » 100 personnalités les plus influentes  » de Hollywood. Le numéro 1 est désormais Gerald Levin de Time-Warner-AOL, qui détrône ainsi Summer Redstone (son véritable patronyme est Rothstein) de Viacom (CBS, Paramount, MTV, etc.). Le numéro 3 est l’  » Australien  » Rupert Murdoch, et le numéro 4 est un autre Juif : Michael Eisner (Disney, ABC, Miramar, etc.).

Boycott. Ancien militant maoïste, Marin Karmitz, président du MK2 Group (premier distributeur indépendant français) et président de la Fédération national des distributeurs de films, a été à la pointe du boycott français du film La Passion de Mel Gibson. Alex Moïse est à l’origine de l’annulation du spectacle de l’humoriste Dieudonné à l’Olympia (février 2004), mais aussi à Deauville et Roanne. Il est le secrétaire général de la Fédération sioniste de France.

Lors du dîner annuel du CRIF (Conseil représentatif des Institutions Juives de France) de janvier 2005 où durent assister 16 ministres en exercice conduits par J.-P.Raffarin, son président Roger Cukierman, s’est permis de réprimander vertement le gouvernement « français » qui s’est contenté de courber la tête. On a bien vu qui sont les véritables maîtres en France !

La démocratie est censée garantir la liberté d’expression. Mais force nous est de constater que
la censure est partout présente dès qu’il s’agit d’aborder certaines questions dérangeantes pour les puissants du moment. Il nous est ainsi interdit de dénoncer le pouvoir exorbitant des Juifs et leur politique de destruction des peuples européens par immigration et métissage. La loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 (aggravée par la loi Lellouche du 3 février 2003 réprimant l’homophobie) permet de punir de lourdes amendes les journaux identitaires européens afin de les étouffer. Les historiens révisionnistes sont pourchassés et bastonnés en pleine rue par les milices privées juives (genre Betar ou LDJ) que la police n’inquiète jamais, condamnés à la ruine et au silence. Leurs revues sont interdites, tout comme leurs sites web que même les fournisseurs d’accès et les moteurs de recherche sont obligés de filtrer. Des centaines d’ouvrages gênants ne circulent que dans la clandestinité ou sur internet, par des voies détournées.

La seule « réponse » juive au défi intellectuel est la censure! Face à l’érudition d’une poignée d’adversaires marginalisés, obligés de travailler dans la clandestinité, la redoutable armée des universitaires juifs en est réduite à recourir aux lois d’exceptions pour faire taire. Aux arguments scientifiques, ils répliquent par la répression policière ou même le matraquage de la part de leurs nervis. Les années triomphales de la lâcheté et de la médiocrité… Cela est tout à fait exact. Nous avons le droit de tout dire, sauf le principal. Il est interdit de dénoncer le pouvoir extraordinaire des Juifs, leur politique de destruction des peuples européens par immigration et métissage. La loi Fabius-Gayssot du 13 juillet 1990 permet de punir de lourdes amendes les journaux nationalistes et de les étouffer. Les historiens révisionnistes sont pourchassés sans pitié, couverts de crachats, bastonnés en pleine rue, condamnés aux amendes les plus lourdes. Leurs revues sont interdites. Vous ne les trouverez pas à la FNAC. Des centaines d’ouvrages gênants ne circulent que dans une quasi-clandestinité. Le premier magistrat de France, Pierre Dray (1999), premier président de la cour de cassation, est aussi le Pdt de l’Association des Amis de l’université de Jérusalem. Il condamne lourdement tous les écrits révisionnistes. La loi Lellouche (proche de Chirac) du 3 février 2003 aggrave encore la loi Fabius-Gayssot. Les Juifs sont réellement partout, contrôlant les rênes du pouvoir. Mais leur véritable génie réside dans la manipulation et l’accaparement des places grâce à la solidarité tribale. Ils ne sont forts que par l’affaiblissement des autres, l’exclusion des autochtones des postes clés, dans leur propre pays. Voilà pourquoi ils ont besoin de diviser ces derniers, tout en les culpabilisant à mort pour les démoraliser. Leur mainmise sur les médias leur fournit les moyens d’une propagande massive et omniprésente. C’est aussi à cela que sert le monstrueux bobard de la Shoah, leur épée et leur bouclier. A la moindre menace, réelle ou supposée (et bien souvent, provoquée, tant cela rapporte !), en réponse au plus petit signe de réprobation de ceux qu’ils piétinent, ils brandissent l’étendard de l’holocauste. Ils auraient été les victimes du plus grand crime de l’histoire de l’humanité et désormais, tous ceux qui les contrarient en seraient objectivement complices. Ceux-ci sont d’office considérés comme des criminels par intention supposée. Il suffit ainsi d’être catalogué d' »extrême-droite » pour se retrouver dans la ligne de mire des lois scélérates dites « antiracistes » ou « anti-haine » que leurs influences ont partout imposées aux sociétés prétendument « démocratiques ». Des « démocraties » qui ne se fondent plus sur une quelconque volonté populaire (désormais, dénigrée comme relevant du « populisme ») mais celle des médias au service des intérêts juifs. Pour réussir à nous asservir à jamais, ils ont besoin de détruire en nous tout enracinement national, toute fierté collective. Toute volonté de résistance. C’est cette mainmise sur les moyens de communication, laquelle influe ensuite sur le pouvoir politique et la production universitaire, qui leur permet d’imposer l’idée que la « mondialisation », en dépit de ses conséquences désastreuses, est inéluctable. Peu de gens sont ainsi en mesure de comprendre qu’en réalité, il ne s’agit ici que du résultat d’un choix, déterminé par la satisfaction des intérêts de quelques groupes dominants. Au sein de ces derniers, les Juifs représentent indéniablement le noyau dur, ayant de ce fait vocation à diriger l’ensemble. Même ainsi si les membres d’autres élites réussissent à émerger pour accéder à une réelle puissance, ils seront vite pénalisées à cause de leur disparité naturelle et leur absence de vision commune, les empêchant de s’unir durablement. Ils ne seront jamais que des groupes d’individus et des familles isolées, face à des concurrents juifs disposants de solides traditions communautaire. Les millionnaires juifs représentent la tête d’un corps organique aux membres solidaires alors que les autres passent facilement pour les ennemis de leurs propres peuples. De cette manière, même s’ils ne détiennent pas encore véritablement tous les leviers de commande, on peut d’ores et déjà dire que les Juifs constituent le noyau dominant de la planète, le plus souvent par dirigeants américains et européens interposés. La liste suivante constitue un simple échantillon et pourrait facilement être allongée, notamment si on y ajoute d’autres industriels puissants et des universitaires influents. De nombreux secteurs de l’économie et des centres de recherches vitaux sont entièrement dominés par des Juifs, même parfois si, en apparence, on retrouve encore des non-juifs à leur tête.
— ABECASSIS, Eliette. Ecrivaine. Fille d’ Armand ABECASSIS, spécialiste du judaïsme issu d’une famille juive du Maroc.
— ABEHSERA, Charles. Industriel du textile (Morgan) né dans une famille juive du Maroc.
— ABERGEL, Jacques. (Le Nouvel Economiste)
— ADDA, Serge. PDG de TV5, Juif tunisien
— ADJANI, Isabelle. Juive kabyle.
— ADLER, Alexandre. Journaliste et documenteur de télévision. Après avoir été militant communiste, il est devenu l’un des principaux propagandistes de la domination américano-sioniste. Son épouse, Blandine KRIEGEL est conseillère à l’Elysée.
— AFFLELOU, Alain. Industriel, né dans une famille juive du Maroc.
— AÏDENBAUM, Pierre. Maire PS du IIIe arrdt de Paris. Milliardaire socialiste.
— AJAOUI, Agnes. Actrice.
— ALPHANDERY, Edmond.
— AMAR, Paul
— ANCONINA, Richard. Comédien, issu d’une famille juive de Tunisie.
— ARDITI, Pierre. Comédien, né d’un père juif. Marié à la comédienne juive Evelyne BOUIX.
— ARTHUR (ESSEBAG Jacques, dit). L’animateur reconnu pour être « le plus con de la radio et ensuite, de la télé » est né au Maroc dans une famille juive.
— ASSAYAS, Olivier. Cinéaste, fils de Jacques Rémy. Frère du comédien Michka ASSAYAS.
— ATTALI, Jacques. Banquier et écrivain, né en Algérie. Il est le fils d’un riche parfumeur algérois qui aurait voulu être rabbin. La famille s’est installée en France en 1956. Jacques Attali devient le conseiller spécial de Mitterrand dès le 11 mai 1981, puis, le président de la Banque européenne de développement où ses « largesses » pour lui-même et ses amis font scandale. Il a fait l’apologie de la puissance financière juive et milite pour l’entrée de la Turquie en Europe. Son frère Bernard ATTALI était PDG d’Air France avant de se mettre au service des entreprises américaines opérant dans les rachats d’entreprises stratégiques en France.
— AYACHE, Alain. Patron de presse dans le genre « people », issu d’une famille juive d’Algérie.
— AZOULAY, Jean-Luc. Juif originaire d’Algérie. Co-fondateur avec son compatriote Claude BERDA du groupe AB, produisant des films et animations télévisuelles destinées à la jeunesse.
— BACRI, Jean-Pierre. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.
— BADINTER, Robert. Alors qu’il était avocat de la LICRA contre Robert Faurisson, Mitterrand en fit son ministre de la justice en 1981. Président du Conseil Constitutionnel en 1986. Il siège toujours au Conseil représentatif des institutions juives et du Fond social juif unifié. Sa seconde épouse, Elisabeth BADINTER, est la fille du publiciste milliardaire Marcel BLEUSTEIN-BLANCHET (Publicis Groupe SA) et la petite-fille du communard Edouard VAILLANT (1840-1915).
— BALASKO, Josiane (BALASCOVIC, dite). Actrice et cinéaste, née dans une famille juive venue de Yougoslavie. Belle-sœur de Richard BERRI et mère de la comédienne Marilou BERRI.
— BARZACH, Michèle. Ancien ministre de la Santé de Chirac. Née le 11 juillet 1943 au Maroc dans une famille juive ashkénaze, elle a été compromise dans le scandale du sang contaminé par le sida.
— BEIGBEDER, Frédéric
— BEIGBEDER, Charles. Son frère, multimillionnaire.
— BEDOS, Guy.
— BENAYOUN, Michaël (dit YOUN)
— BENAZERAF, José. Issu d’une famille juive du Maroc, il est devenu le principal promoteur du cinéma pornographique en France.
— BENGUIGUI, Jean. Comédien, originaire d’Algérie.
— BENMAKHLOUF, Alexandre. Ancien conseiller de Jacques Chirac à la mairie de Paris. Ancien directeur de cabinet de l’ancien Garde des Sceaux Jacques Toubon.
— BEREGOVOY Pierre. Il était le fils d’Adrïan Beregovoy. Né le 23 décembre 1925 à Isum (Russie) dans une famille juive d’Ukraine.
— BERRI, Claude (LANGMANN, dit). Acteur-producteur de cinéma. Père de l’acteur-producteur Thomas LANGMANN et de l’acteur Julien RASSAM.
— BERRY, Richard (BENGUIGUI, dit). Comédien, né d’une famille juive d’Algérie.
— BIRNBAUM, Michel. (New Look, Play Boy)
— BORLOO, Jean-Louis. Ministre d’origine juive de Chirac. Marié à Béatrice SCHOENBERG (née SZABO), présentatrice à France 2.
— BOUJENAH, Michel.
— BRAUMAN, Rony. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières. Ses prises de positions en faveur des Palestiniens lui ont valu des critiques virulentes de la part des autres juifs.
— BREDIN, Jean-Denis. Né HIRSCH-BREDIN, devenu Bredin par décret du 16 mars 1950 , ancien associé de Robert BADINTER et académicien antiraciste.
— BREITMAN, Zabou. Actrice et réalisatrice de cinéma. Fille de l’acteur-réalisateur Jean-Claude DERET.
— BRUEL, Patrick (né BENGUIGUI). Chanteur, acteur et joueur de poker professionnel issu d’une famille juive d’Algérie.
— BUFFET, Marie-Georges. Ministre communiste de la jeunesse. Son nom de jeune fille est KOSELLEK. Son directeur de cabinet est Gilles SMADJA, militant communiste, ancien chef du service société du journal l’Humanité.
— CAMBADELIS, Jean-Christophe. Fils de diamantaire originaire de Grèce. Spécialiste de la lutte contre « l’extrême-droite ». Membre du PS.
— CAMUS, Jean-Yves. Journaliste goy converti au judaïsme et qui, dans l’espoir de se faire accepter, fait de la surenchère de sionisme en se montrant enragé contre « l’extrême-droite ».
— CARLOS (DOLTOVITCH, Jean-Christophe, dit). Chanteur, issu d’une famille juive venue de Russie. Sa mère était Françoise DOLTO, médecin psychanalyste.
— CASSEL, Vincent.
— CASTALDI, Benjamin. (Loft Story)
— CHABAT, Alain. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.
— CHAIN, Emmanuel.
— CHARVET, David (GUEZ, dit). Acteur et chanteur, issu d’une famille juive de Tunisie.
— CHEMLA, Elisabeth. Journaliste au Nouvel Observateur et à Proche-Orient Info, originaire d’Algérie. Elle s’est fait remarquer par son ultra-sionisme hystérique.
— CHEVENEMENT, Jean-Pierre. Ancien ministre socialiste, issu d’une famille (juive ?) originaire d’Allemagne installée à Belfort. Son épouse, la sculpteuse Nisa GRUNBERG est née en Egypte dans une famille juive et ses enfants sont juifs pratiquants.
— CHOURAQUI, Elie. Cinéaste, issu d’une famille juive d’Algérie.
— CIXOUS, Hélène. Universitaire et militante féministe. Sa mère était juive d’Allemagne et son père juif algérien.
— COHEN, David. (dit Dany BRILLANT)
— COHN-BENDIT, Daniel.
— COLLARO, Stéphane.
— COPÉ, Jean-François. « Je suis Juif non-pratiquant, mais je veille à demeurer, avant tout, le représentant d’une autorité laïque.  » (Tribune juive, 15 février 2002). Ses grands parents se sont mariés à la grande synagogue de la rue de la Victoire.
— DAENINCKX, Didier. Romancier médiocre et mouchard professionnel pour le compte du Mossad. On lui a attribué comme nom de code « l’ahuri des poubelles ».
— DAHAN , Etienne. (dit DAHO)
— DANIEL, Jean (BENSAÏD, dit). Essayiste et journaliste, responsable du Nouvel Observateur. Il est le 11e et dernier enfant d’une famille juive pieuse. Confident de François Mitterrand.
— DARMON, Gérard. Comédien, issu d’une famille juive d’Algérie.
— DASSAULT, Serge. Fils de Marcel DASSAULT (auparavant BLOCH). Industriel multicarte. 3e fortune de France.
— DAYAN, Josée. Réalisatrice de cinéma, née en Algérie.
— DEBRE, Michel. L’ancien Premier ministre (décédé) du général de Gaulle a renoué avec ses racines juives au crépuscule de sa vie. Il était petit-fils du grand rabbin Simon DEBRE, originaire d’Alsace. Parmi ses enfants, on peut citer Jean-Louis DEBRE, Président de l’Assemblée nationale très proche de Chirac et Bernard DEBRE, urologue, ancien député et ministre de la Coopération.
— DERAI, Yves. Directeur des programmes de la radio BFM (dirigée par Alain WEIL), la radio du big business qui n’hésite pas à inviter ses auditeurs à aller à la fête de Lutte ouvrière. Ancien directeur de Tribune juive (1993-1998).
— DERRIDA, Jacques. Ecrivain (décédé en 2004), issu d’une famille juive d’Algérie.
— DESIR, Harlem. Premier leader de SOS-Racisme, devenu ensuite député  » européen  » du groupe socialiste. Son père est d’origine martiniquaise et sa mère juive d’Alsace.
— DRAI, Pierre. L’ancien Président de la cour de cassation est également président de l’Association des Amis de l’université de Jérusalem.
— DRAY, Julien. Politicien né dans une famille juive d’Algérie. Il milite à la Ligue communiste révolutionnaire jusqu’en 1982. Devenu agitateur professionnel pour le compte du parti socialiste, il est avec Harlem DESIR à l’origine de la création de SOS-Racisme. Il avait défrayé la chronique en achetant en liquide une montre de 250.000 francs (plus de 38.000 euros).
— DREYFUS, Tony. Député-maire PS du Xe arrondissement de Paris.
— DRUCKER, Michel. Animateur de télé, Fils du docteur d’origine roumaine Abraham DRUCKER et frère du PDG de la chaîne de télévision M6. Son frère Jean DRUCKER (décédé en 2003) était PDG de télévision (Société Française de Production, Antenne 2 et ensuite M6). Ce dernier laisse deux filles, Marie DRUCKER, présentatrice vedette à France 3 et Léa DRUCKER, comédienne.
— DRUON, Maurice. Secrétaire perpétuel de l’Académie Française. Neveu de l’écrivain Joseph KESSEL dont la famille juive est originaire de Lithuanie.
— ELKRIEF, Ruth.
— EMMANUELLI, Jean.
— ENDERLIN, Charles.
— ESSEL, André. Militant trotskyste. Fondateur de la FNAC avec le milliardaire franc-maçon Max THERET.
— ESTIER, Claude. Ex-président du groupe socialiste au Sénat. Né Claude HASDAY EZRATTY dans une famille juive d’Algérie, il a obtenu de changer son nom en ESTIER en 1983. Ami personnel de Mitterrand.
— FABIUS, Laurent. Ancien Premier ministre et Président de l’Assemblée nationale socialiste, compromis dans le scandale du sang contaminé par le virus du sida. Son père, André FABIUS, était un richissime marchand de tableau. Sa mère, née STRASBURGER, est issue d’une famille de bijoutiers juifs de Francfort. Il est le principal promoteur de la loi Fabius-Gayssot de 1990 qui a mis fin à la liberté d’expression en France, et ensuite celle de 1996, qui institue la délation pour permettre aux associations « antiracistes » sous domination juive d’imposer la terreur de la pensée unique.
— FARRUGIA, Dominique. (Canal +)
— FERRAT Jean (TENENBAUM, dit). Chanteur et communiste militant.
— FERRO, Marc. Historien médiatique. Juif par sa mère, née Nelly FRIEDMANN.
— FERRY, Luc. Ancien ministre de l’éducation nationale et essayiste médiatiquement réputé.
— FIELD, Michel. Animateur télé. Ancien leader communiste.
— FINEL, Lucien. Né FINKELSTEIN. Maire du IVe arrdt. de Paris
— FINKELKRAUT, Alain. Essayiste médiatique et sioniste intransigeant.
— FITERMAN, Charles (CHILEK, dit). Ancien ministre communiste. Fils d’immigrés juifs polonais naturalisés en 1934.
— FOGIEL, Marc-Olivier.
— FORRESTER, Viviane. (L' »horreur économique »)
— FRIEDMANN, Jacques. Inspecteur général des finances. Il est depuis quarante ans le plus proche confident de Jacques Chirac. En 1986, il a réussi à convaincre le Premier ministre de renoncer à la réforme du code de la nationalité destinée à freiner l’immigration.
— GAINSBOURG, Charlotte. Fille de Serge GAINSBOURG, Juif dont la famille est venue de Russie. Epouse de l’acteur-réalisateur Yvan ATTAL.
— GAUBERT, Patrick. Député européen et président de la LICRA, association ultra-sioniste comptant parmi ses membres d’honneur Jacques Chirac (et auparavant, François Mitterrand).
— GEISMAR Alain. Principal leader de mai 1968 avec Daniel COHN-BENDIT, autre juif. Devient par la suite Inspecteur général de l’Education nationale. Il se définit (Passages, octobre 1990), comme « issu d’une famille de Juifs alsaciens, des deux côtés, paternel comme maternel ». Son père, inspecteur de la Banque de France, fut permanent du Consistoire israélite.
— GIROUD, Françoise. (Léa Françoise GOURDJI, devenue Giroud par décret du 12 juillet 1964). Son père Salih GOURDJI était originaire de Turquie. Sa mère s’appelait Elda FARRAGI. Journaliste et ministre, née dans une famille juive de Turquie.
— GLUCKSMANN, André. Essayiste d’extrême-gauche devenu sioniste enragé.
— GLUCKSTEIN, Daniel. Secrétaire général du Parti des « Travailleurs » (trotskyste).
— JGODRECHE, Judith.
— GOLDANEL, Gilles-William. Avocat sulfureux, président de l’Association France-Israël dont la devise est : « A son attitude à l’égard d’Israël, on peut juger de la valeur spirituelle d’un people ». Cette association sioniste fut fondée en 1929 sous l’égide des plus hautes autorités de l’Etat français (Président de la République, Président du Conseil des ministres).
— GOLDMAN, Jean-Jacques. Chanteur-compositeur, né des parents juifs, d’Allemagne pour sa mère et de Pologne pour son père.
— GROSSER, Alfred. Universitaire, né dans une famille juive de Francfort. Apologiste de l’Allemagne nationale-masoschiste pour le public français.
— GUEDJ, Nicole. Avocate et ministre UMP née en Algérie. Membre du CRIF, de la LICRA et autres organisations communautaires juives.
— GUETTA, David. Animateur de boîte de nuit fréquentée par le « Tout Paris ». Né dans une famille juive originaire du Maroc, il est marié à une entraîneuse sénégalaise.
— GUNZBURG, Alain de. Principal actionnaire du Monde, gendre du milliardaire Edgar B. RONFMAN, n°1 mondial de l’alcool et Pdt du Congrès juif mondial)
— HALIMI, Gisèle. Leader féministe devenue ensuite ambassadeur de France à l’Unesco. Née le 27 juillet 1927 à Goulette en Tunisie. Son vrai nom est Zeisa, Giselle, Elise Taïeb. Elle reçut l’autorisation de changer son nom par le décret paru au Journal officiel du 7 mars 1996. Son fils, Serge HALIMI est essayiste, spécialisé dans la critique des médiats et de la mondialisation mais évitant soigneusement de s’attaquer à la mainmise juive.
— HANIN, Roger (LEVY, dit). Comédien, né en Algérie. Il a adopté comme pseudonyme le nom de jeune fille de sa mère. « Mon vrai nom, c’est Lévy. Mon père s’appelle Joseph LEVY. Ma mère Victorine HANIN. A l’origine, c’était BEN HANINE. C’est une fille AZOULAY. Je suis 100 % casher sur le plan génétique. Je suis fils de communiste et petit-fils de rabbin. Je me sens très juif. » (Actualité juive, 4 décembre 1987). Ayant épousé la productrice de cinéma Christine GOUZE-RENAL, il a eu pour beau-frère François Mitterrand.
— HALPHEN, Eric. Magistrat sulfureux et politicien.
— HALTER, Marek. Romancier juif originaire de Pologne. Chantre larmoyant de la préservation multi-séculaire de l’identité biologico-ethnique judéo-khazar.
— HAZAN, Adeline. Ancienne présidente du très gauchiste syndicat de la Magistrature. Née d’un père juif égyptien, elle fait partie du « premier cercle » de Jospin, qui l’a chargée des problème de la « Ville ».
— HERZOG, Philippe. Il est le fils d’ Eugène HERZOG, ingénieur chimiste juif yougoslave immigré en France en 1927. Il était le principal économiste du Parti communiste « français ».
— HOSSEIN, Robert (HOSSEINHOFF, dit). Acteur et cinéaste.
— JEAMBAR, Denis. Directeur de la rédaction de L’Express. Comme il l’a expliqué à Tribune juive (14 mars 1996), il descend d’une famille juive du Comtat Venaissin : « Je suis d’origine juive par ma mère, bien que baptisé. Je me sens très attaché à Israël. » Ancien directeur général d’Europe 1, il fait du combat contre l’extrême-droite une de ses priorités.
— JONASZ, Michel.
— JOSPIN, Lionel. L’ancien premier ministre socialiste (ancien militant et taupe trotskyste) est issu d’une famille protestante mais ses deux épouses, successivement Elisabeth DANNENMULLER et Sylvianne AGACINSKI sont juives et donc aussi ses trois enfants.
— JOUFFA, Yves. Ancien responsable socialiste. Enfermé au camp de Drancy en 1941-42, il en devient l’un des auxiliaires du gardiennage. Pour échapper à la déportation, il adhère ensuite à l’UGIF (organisation juive pro-Vichy) où son père était trésorier. De 1984 à 1991, il préside la Ligue des Droits de l’Homme.
— JOXE, Pierre. Petit fils de l’écrivain Daniel HALEVY et fils de l’ancien ministre gaulliste Louis JOXE qui s’était converti au protestantisme. Pierre Joxe, militant marxiste, était inscrit à la CGT en 1981. Longtemps ministre socialiste.
— KAHN, Jean-François. Journaliste né d’un père juif. Bien que se déclarant catholique et… agnostique, il a toujours milité aux côtés des Juifs. Il a pour frère Axel KAHN, biologiste.
— KAREL, William. Cinéaste documenteur franco-américain né en Tunisie. Il a vécu une dizaine d’années en Israël.
— KARMITZ, Marin. Président du MK2 Group (premier distributeur indépendant français) et président de la Fédération national des distributeurs de films, il a été à la pointe du boycott français du film La Passion de Mel Gibson.
— KASSOVITZ, Mathieu. Acteur et cinéaste. Né dans une famille juive originaire de Hongrie. Il est marié avec l’actrice antillaise Julie Mauduech, héroïne de « Métisse ».
— KEPEL, Gilles. Universitaire, spécialiste médiatiquement réputé de l’islam.
— KIEJMAN, Georges. Avocat, ministre de la justice sous Mitterrand dont il était très proche. Il figure parmi les  » 100 Juifs qui comptent  » (numéro spécial de Passages, février 1989. Il est membre du Conseil de surveillance du Monde et était un proche de Mitterrand.
— KLARSFELD, Serge. Avocat devenu célèbre comme « chasseur de Nazis » (en fait, quelques vieillards impotents, abandonnés de tous!). Son fils, Arno KLARSFELD est aussi avocat, célèbre, lui, pour son arrogance et sa médiocrité.
— KNOEBEL, Marc. Ancien vice-président de la LICRA. Militant sioniste fanatique payé par le Centre Simon Wiesenthal (USA), il ambitionne de devenir grand inquisiteur sur internet, par l’intermédiaire notamment de son officine « J’accuse ! ». Il cherche à faire interdire tous les sites critiquant Israël et les Juifs.
— KONOPNICKI, Guy. Activiste communiste devenu ensuite sioniste enragé. Issu d’une famille d’immigrés juifs originaires de Pologne. Membre fondateur de SOS Racisme, il en démissionne le 18 janvier 1991 pour protester contre les positions pacifistes du mouvement pendant la guerre du Golfe. « Cette fois, je le dis sans honte, j’ai applaudi lorsqu’un déluge de feu est tombé sur l’Irak ». Le soutien au Tiers-monde passe après l’intérêt d’Israël.
— KOUCHNER, Bernard. Un des fondateurs de Médecins sans Frontières, devenu ensuite ministre du gouvernement socialiste. En 1981, il a apporté son soutien au Renouveau juif pour faire battre Valéry Giscard d’Estaing. Nommé administrateur du Kossovo par Kofi Annan (Secrétaire général ghanéen de l’ONU), il a des responsabilités directes dans l’expulsion (parfois accompagnée de massacres) de plus de 150.000 serbes de leur pays d’origine. Etroitement lié au réseau de l’extrême gauche Marié à la journaliste Christine OCKRENT.
— KRASUCKI, Henri (HENOCH, dit). Il a succédé à Georges Séguy comme secrétaire général de la CGT le 13 juin 1982. Sa mère, Léa KRASUCKI, née en 1903, a été une responsable du parti communiste polonais naissant dès 1920. Henri Krasucki a été envoyé a Auschwitz où il est indiqué comme ayant été gazé dans le Mémorial de la Déportation des Juifs de France de Serge KLARSFELD au titre du convoi n°55 du 23 juin 1943…
— KRAWCZYK, Gérard. Acteur et réalisateur de cinéma.
— KRIVINE, Alain. Leader trotskyste, né dans une famille juive venue d’Ukraine.
— LALONDE, Brice.  » Ma mère est d’ascendance écossaise… tandis que mon père venait d’une famille parisienne, d’origine alsacienne, aux racines juives  » (Sur la vague verte). Son grand-père, Roger-Raphaël Lévy, et son père, Alain-Gauthier LEVY, ont changé leur nom en LALONDE après la Seconde Guerre mondiale (décret du 16 février 1950). Sa mère, née FORBES, a été naturalisée française. Le milliardaire Malcolm S. FORBES, ainsi que John Kerry, candidat à la présidence américaine contre G.W.Bush comptent parmi ses cousins. Elevé dans un milieu bourgeois (père gros industriel du textile), il a longtemps milité à l’extrême-gauche, notamment à l’UNEF, dont il était le président.
— LANG, Jack. Ministre socialiste né dans les Vosges dans une famille juive. Son épouse, née BUCZYNSKY est issue d’une famille juive de Pologne. Il se considère comme  » juif par sédimentation : mon père était un juif laïc, et ma femme, d’origine polonaise, vient d’un milieu beaucoup plus religieux. Nos enfants ont reçu une véritable éducation juive et ont été très actifs au sein de la communauté juive de Nancy  » (Tribune juive, 21 janvier 1983).
— LANZMANN, Claude. Directeur des Temps Modernes (avec J ean-Paul SARTRE) et faiseur de films documenteurs (dont « Shoah ») au profit du sionisme.
— LEHMANN, Clément. (PDG de Arte)
— LELOUCH, Claude. Cinéaste, né d’un père juif originaire d’Algérie.
— LELLOUCHE, Pierre (ALLOUCHE, dit). Né le 3 mai 1951 à Tunis,  » issu d’une famille juive traditionaliste  » (Actualité juive, 1er mars 1989). Proche conseiller de Chirac, il est Président de l’Assemblée Parlementaire de l’OTAN depuis 2004.
— LEPAGE, Corinne. Avocate, devenue ministre de l’environnement du gouvernement Juppé. Elle est la fille de Jacqueline SCHULMAN et de Philippe LEVY, autorisé à changer nom en LEPAGE par décret du 18 février 1950.
— LEVI-STRAUSS, Claude. Anthropologue et membre de l’Académie française. Longtemps porte-parole de l’antiracisme officiel avant d’être débordé par l’antiracisme extrémiste au point d’être accusé maintenant de tendances… racistes.
— LEVITTE Jean-David. Conseiller diplomatique de Jacques Chirac de 1995 à 2000. Il est depuis lors le représentant de la France auprès de l’ONU.
— LEVY, Bernard-Henri. Ecrivain médiocre passant pour « philosophe » par la grâce des médiats. Né en Algérie d’un père juif, devenu millionnaire grâce notamment à l’exploitation du bois en Afrique et en Amazonie. C’est aussi un des proches de Nicolas SARKOZY, après avoir été proche de Mitterrand. Il se targue volontiers d’avoir beaucoup contribué à l’imposition de la terreur antiraciste en France. Sa fille, Justine LEVY est romancière.
— LEVY, Laurent. Avocat du MRAP, marié à une musulmane. En septembre 2003, ses deux filles défraient la chronique en s’affichant voilées à l’école, avec son appui.
— LEVY, Maurice. Il est l’héritier spirituel de Marcel BLEUSTEIN-BLANCHET, fondateur de Publicis, première agence de publicité en France. Sa famille est originaire du Maroc.
— LEVY, Raymond. Ancien président de Renault, aujourd’hui président du conseil de surveillance de Lagardère. Il entretient des relations privilégiées avec Dominique STRAUSS-KAHN.
— LINDON, Vincent. Acteur et réalisateur de cinéma. Appartient à une famille juive originaire de Pologne (LINDENBAUM) et des Pays-Bas (Citroën). Son oncle, Jerôme LINDON était le directeur des Editions de Minuit.
— LIPIETZ, Alain (LIPIEC, dit). Député européen des Verts. Issu d’une famille juive originaire de Pologne. Sa famille porte plainte en 2006, contre la SNCF (!) pour son role supposé dans la déportation des Juifs pendant la Seconde guerre mondiale…
— LUSTIGER, Mgr. (Aaron et ensuite Jean-Marie) Ce cardinal et archevêque de Paris s’est lui-même défini comme étant « à la fois juif et Chrétien ». Et se croyant drôle : « Vous savez, il y a en France deux grands rabbins, un séfarade, Joseph SITRUK, et un ashkénaze, moi ! ». Et pour finir : « On ne peut pas, [on] ne doit pas convertir les Juifs », « Je suis juif et je le resterai », « Je me sais juif ». (Documentation Catholique, 1 mars 1981, n° 1803, p. 139-140). Membre également de l’Académie française.
— MACIAS, Enrico (Gaston GHRENASSIA, dit). Chanteur juif originaire d’Algérie.
— MANUKIAN, Hervé.
— MARCEAU, Marcel (MANGEL, dit). Mime comédien.
— MARCUS, Gérard. Richissime propriétaire d’une des plus importantes galeries de tableaux à Paris. Membre du bureau politique du RPR depuis 1985. Président du groupe d’amitié parlementaire France-Israël.
— MAY, Mathilda (HAIM, dite). Comédienne née d’un père juif de Turquie.
— MELENCHON, Jean-Luc. Ancien ministre et sénateur socialiste. Il a constitué un cabinet très axé à gauche (du Jourdain ?). Attachée de presse : Valérie ATLAN, ancienne présidente de l’Union des Etudiants juifs de France à Montpellier, ancienne responsable de la communication à SOS Racisme. Conseiller aux conditions et aux cadres de vie des élèves : Eric BENZEKRI, ancien cadre trotskyste. Conseiller technique pour les relations sociales : Daniel ASSOULINE, qui dirigea avec son frère David la Ligue ouvrière révolutionnaire, une chapelle troskyste.
— MEZRAI, Raphaël.
— MEMMI, Albert. Ecrivain juif originaire de Tunisie. Imposé par les médiats comme spécialiste du racisme et porte-parole de… l’anti-colonialisme.
— MILLER, Claude. Réalisateur de cinéma.
— MILLER, Gérard. Psychanalyste et homme de télévision, issu d’une famille juive originaire de Pologne. Il est devenu médiatiquement célèbre pour sa morgue.
— MINC, Alain (MINKOVS KI, dit). Technocrate mondialiste proche du parti socialiste. Il est le fils d’un dentiste polonais ashkénaze, naturalisé français en 1947. Il occupe le poste stratégique de président de la Société des lecteurs du journal Le Monde.
— MOATI, Serge. Cinéaste documenteur et animateur télé né dans une famille juive originaire de Tunisie. Dans « La haine antisémite » (1991), il étale sans retenue sa haine envers tous ceux qu’il accuse d’antisémitisme.
— MOCKY, Jean-Pierre (MOKIEJWSKI, dit). Cinéaste, né dans une famille juive originaire de Russie.
— MOÏSE, Alex. Secrétaire Général de la Fédération Sioniste et membre du Collectif citoyen antiraciste. Condamné pour « incitation à la haine » après s’être envoyé lui-même des menaces antisémites afin ensuite de pouvoir porter plainte contre l’antisémitisme. Un petit « dérapage » révélateur, constituant le sommet de l’iceberg…
— MORIN, Edgar. Sociologue. Issu d’une famille juive de Grèce. Il a été longtemps militant antiraciste. A partir de 2003 cependant, il a été violemment attaqué par les autres Juifs qui lui reprochent de critiquer Israël et l’ont ensuite fait condamner pour… racisme !
— MOSCOVICI, Pierre. Ancien militant trotskyste, devenu ensuite ministre socialiste des affaires européennes. Vice-président du Parlement européen.
— MOUSTAKI, Georges. Chanteur d’origine juive né en Egypte.
— NAKAD, Naïda. Journaliste.
— NEÏERTZ, Patrick. Directeur général de Christian Dior. Epoux de l’ex-ministre socialiste.
— NEÏERTZ, Véronique. Ex-ministre socialiste. Mariée à Patrick NEÏERTZ, Directeur général de Christian Dior.
— NOIR, Michel. Juif par sa mère, Rose DREYER. Ancien ministre de Chirac et maire de Lyon. Sa carrière politique fut ensuite compromise par une affaire de corruption. . Il est l’un des rares hommes politiques français a avoir été coopté au sein du Bilderberg Group, une des plus puissantes associations mondialistes internationales.
— OCKRENT, Christine. Journaliste.
— OLIVENNES Denis. Président de Canal Plus France (juin 2000) après en avoir été le directeur général. Il s’appelait OLIVENSZTEIN avant 1960.
— OURY, Gerard (TANNENBAUM, Max-Gérard, dit). Cinéaste, marié à l’actrice Jacqueline ROMAN, née YACOWLEW. Père de Danièle THOMPSON et grand-père de Christopher THOMPSON.
— PARIENTE, Patrick. Industriel du textile (Naf Naf), issu d’une famille juive de Tunisie.
— POLAC, Michel. Journaliste et cinéaste de télévision, né à Paris (XVIe) au sein d’une famille très fortunée de Juifs polonais. Il s’est toujours affiché comme un militant d’extrême gauche.
— POLANSKI, Roman. Cinéaste, de père juif polonais.
— PONCELET, Christian. Le président RPR du Sénat s’est confié à Tribune juive (17 février 1999) pour s’inquiéter de « la montée de l’antisémitisme en France et en Europe ». Il a précisé : « Je n’oublie pas qu’il y a des « Kahn » dans ma famille ».
— PULLICINO, Gérard. Producteur et Réalisateur (films, télévision, clips) né dans une famille juive de Tunisie.
— PESCHANSKI, Marc. Membre du bureau politique de Lutte ouvrière (trotskyste). Il est originaire de Moldavie.
— POHER, Alain. Ancien président du Sénat. Médaille d’or du B’nai B’rith (franc-maçonnerie hébraïque) en 1979.
— STEINMETZ, Pierre (mai 2002). Dans sa première déclaration de Premier ministre (2002), il déclarait ceci :  » La France est un pays métisse et elle le restera « .
— REGINE (Zylberberg-Choukroun). Chanteuse et tenancière de cabaret.
— REZA, Yasmina. Ecrivaine, né d’un père juif de Russie et d’une mère hongroise.
— ROTMAN, Patrick. Romancier et cinéaste documenteur, professionnel de l’incitation permanente à la haine a l’égard des Allemands.
— ROUSSO, Henri. Universitaire, grand inquisiteur anti-révisionniste à Lyon.
— SARKOZY, Nicolas. Juif par sa mère qui est originaire de Grèce et hongrois par son père, de qui il hérite son baptême catholique. Les Juifs le considèrent toujours comme l’un des leurs et il se garde bien de les démentir. Son frère, Guillaume SARKOZY a été vice-président du MEDEF, syndicat des patrons français.
— SARRAUTE, Claude. Journaliste, fille de la r omancière Nathalie SARRAUTE (TCHERNIAK, dite), issue d’une famille juive de Russie.  » Les années passant, ma judaïté compte de plus en plus pour moi, et pourtant, je n’ai aucune croyance, aucune culture religieuse. Ce qui ne m’empêche pas de porter à mon cou une étoile de David.  » (Tribune juive, 13.01.2000).
— SCHAPIRA, Pierre. Conseiller PS de Paris et vice-président du Conseil économique et social (janvier 2001).
— SCHNEIDERMANN, Daniel. Ancien journaliste au Monde et présentateur sur France-5 de l’émission « Arrêts sur images ». Bien que prétendant avant tout décrypter les images, à plusieurs reprises, il a été surpris en flagrant délit de désinformation, en particulier lorsqu’il s’agit de défendre Israël ou son instrument américain.
— SCHRAMEK, Olivier. Directeur de cabinet de Lionel Jospin (1999). « Athée quoique d’origine juive » (VSD, 28 avril 1989). Il est le petit neveu d’Abraham SCHR AMEK qui fut ministre de l’Intérieur du Cartel des Gauches.
— SEGUELA, Jacques. Publicitaire.
— SERVAN-SCHREIBER, Jean-Jacques. Journaliste et homme politique, appartenant à une puissante famille juive d’Alsace. Fondateur de l’Express avec Françoise GIROUD. Parmi les membres influents de sa famille, on peut citer Jean-Louis SERVAN-SCHREIBER, fondateur de L’Expansion et directeur de Psychologies magazines, Brigitte Gros, journaliste et politicienne (décédée en 1985) et Christine COLLANGE, journaliste.
— SINCLAIR, Anne (née SCHWARTZ, épouse LEVAÏ, puis STRAUSS-KAHN). Journaliste, née à New-York en 1948. Elle est la fille de Robert SCHWARTZ, puissant homme d’affaires, autorisé par décret du 3 août 1949 à prendre le patronyme de Sinclair.
— SITRUK, Joseph. Grand rabbin de France, né en Algérie. Le 13 octobre 2000, il a été surpris en flagrant délit de mensonge public en annonçant à la radio l’assassinat à Paris de 6 jeunes Juifs, pour essayer de détourner l’attention sur l’assassinant par la soldatesque israélienne d’un enfant palestinien. Ceci confirme bien l’adage : menteur comme un rabbin !
— SORMAN, Guy. Journaliste et essayiste, chantre du néo-libéralisme. Ses prises de positions critiques vis-à-vis d’une certaine juiverie lui ont valu bien des « incompréhensions ».
— STOLERU, Lionel. Ancien ministre socialiste. Membre du Bilderberg Group, proche du milliardaire escroc Robert MAXWELL qui était également juif. Il est le fils de Fernande BLUM et d’Elie STOLERU, né à Vaslui, en Roumanie.
— STORA, Benjamin. Ecrivain, issu d’une famille juive d’Algérie.
— STRAUSS-KAHN, Dominique. Ancien ministre socialiste de l’Economie, des Finances et de l’Industrie. Son père est juif ashkénaze, et sa mère, Jacqueline FELLUS, juive de Tunisie. Voici comment il a composé son cabinet, en 1997 : Responsable des entreprises publiques : Stéphane-Paul FRYDMANN. Responsable des affaires politiques: Gilles FINCKELSTEIN (aussi responsable de la cellule arguments de Lionel Jospin). Attachée parlementaire : Michèle SABBAN (chargée des déplacements de Lionel Jospin).
— SULITZER, Paul-Loup. Signataire de romans à succès écrits par des nègres. Fils de Jules SULITZER, immigré juif de Roumanie. Il s’est retrouvé mêlé à plusieurs affaires louches, sanctionnées pénalement.
— SUSSFELD, Alain. Directeur général d’UGC. Proche ami de Michel DRUCKER.
— TAGUIEFF, Pierre-André. Essayiste pompeux aux travaux passablement confus par souci de les faire passer pour « savants ». Né d’une mère d’origine polonaise et d’un père juif de Russie. Cela lui permet de se prétendre « non-juif », comme J.F. KAHN. Mais de par tous ses engagements, il est entièrement au service du sionisme le plus radical, sous prétexte d' »antiracisme », cette « forme de régression mentale » qu’il avait lui-même dénoncé. Beaucoup de ses ouvrages, commandités par les responsables juifs, sont en fait des produits collectifs. Souvent illisibles, ils ne sont pas destinés à convaincre mais à intimider, afin de faire taire.
— TALAR, Charles. Producteur (musique, comédie, etc.), né dans une famille juive de Tunisie.
— TEISSIER, Élizabeth (HANSELMANN, Germaine, dite). Actrice de film érotique et astrologue mondaine (consultée notamment par Mitterrand), née dans une famille juive d’Algérie.
— TIMSIT, Patrick. Cinéaste, comédien et amuseur public, issu d’une famille juive d’Algérie.
— TODD, Emmanuel. Essayiste, fils du journaliste Olivier TODD, petit-fils de Paul NIZAN.
— TRIGANO, Gilbert. Fondateur du Club Méditerranée. Issu d’une famille juive d’Algérie.
— TRUFFAUT, François. Cinéaste. Né d’un père juif qu’il n’aurait jamais connu.
— TRISTAN, Anne. Directeur de publication de « Ras l’front », l’un des principaux journaux qui font leur beurre en traînant dans la boue les militants nationalistes. Son vrai nom est Anne ZELANSKY.
— TUBIANA, Michel. Président de la Ligue des Droits de l’Homme (2000-2005).
— VEIL, Simone. Ancienne ministre UDF et Présidente de l’Assemblée européenne. Longtemps tenue pour morte à Auschwitz par la propagande juive. Surnom : l’Avorteuse, ce dont elle semble très fière.
— VICTOR, Pierre (Benny LEVY, dit). Agitateur maoïste des années 60-70, devenu secrétaire de Jean-Paul SARTRE qu’il convertit plus ou moins au judaïsme. Décédé en 2003 en Israël où il s’était replié avec la caisse des organisations « prolétariennes » qu’il contrôlait.
— VIDAL-NAQUET, Pierre. Médiocre historien helléniste, devenu champion de l’inquisition juive contre le révisionnisme historique. Il a déclaré haïr Robert Faurisson et aurait aimé l’assassiner mais il lui manque le courage de passer aux actes.
— WERTHEIMER, Gerard et Alain. Principaux actionnaires de Chanel. 4e fortune de France.
— WIEVIORKA, Michel. Sociologue, gourou de l’antiracisme médiatique avec sa femme, l’historienne de salon Annette WIEVIORKA. Juifs originaires de Pologne.
— WOLINSKY, Georges. Dessinateur humoriste. Sa mère, née BEMBARON était juive tunisienne et son père juif polonais.
— ZARAI, Rika. Chanteuse et gourou médiatisé de « médecine douce ».
— ZARDI, Dominique. Ecrivain et acteur, ayant joué dans plus de 300 films.
— ZARKA Pierre. Numéro 2 du Parti communiste « français ». Il est issu d’une famille d’origine juive de Tunisie.
— ZEITOUN, Ariel. Producteur de films, né dans une famille juive de Tunisie.
— ZERAH Dov. Ancien directeur de cabinet de Corinne LEPAGE. Devient ensuite chef de cabinet du commissaire européen Edith Cresson à Bruxelles.

Pour rappel, voici quelques autres célébrités juives plus ou moins contemporains qui ont pesé lourd dans les affaires et la société françaises :

– « Barbara » (Monique Andrée Serf) : Chanteuse
– Aron, Raymond : Sociologue et maître à penser.
– Berger, Michel (Hamburger, dit) : Chanteur-compositeur
– Celan, Paul (Antschel, dit) : Ecrivain
– Dac, Pierre (André Isaac, dit) : Humoriste et acteur.
– Distel, Sacha : Chanteur décédé en 2004. Né d’une mère juive.
– Gary, Romain (Roman Kacew, dit) : Ecrivain
– Gainsbourg, Serge (né Lucien Ginsburg) : Chanteur-compositeur et acteur.
– Jankelevitch, Vladimir : Ecrivain haineux, créateur du thème de l' »unicité de la shoah ».
– Lazareff, Pierre : Grand patron de la presse française jusqu’à sa mort en 1972.
– Lemarque, Francis (Nathan Korb, dit) : Chanteur.
– Lévinas, Emmanuel : Ecrivain et maître à penser talmudiste.
– Marcel, Gabriel : Essayiste catholique (né d’une mère juive).
– Mayeur, René : Président du Conseil sous la IVe République.
– Maurois, André (Emile Salomon Wilhelm Herzog, dit) : Ecrivain
– Mendès-France, Pierre : Président du Conseil sous la IVe République. Modèle de Mitterrand.
– Moch, Jules : 8 fois ministres de la IVe République.
– Montant, Yves (Ivo Livi, dit) : Comédien et chanteur. Issu d’une famille juive d’Italie.
– Perec, Georges : Ecrivain né dans une famille juive originaire de Pologne.
– Pierre-Bloch, Jean : Président de la LICA/LICRA durant 24 ans.
– Poliakov, Léon : Historien de l’antisémitisme, passablement faussaire.
– Rodinson Maxime : Historien marxiste, spécialiste de l’islam.
– Signoret, Simone (née Kaminker) : Comédienne
– Spire, André : Ecrivain et activiste sioniste.
– Zitrone, Léon : Animateur télé.

Avant la Première guerre mondiale, il y avait moins de 100.000 Juifs en France pour 42 millions d’habitants. De nos jours, ce nombre est passé à environ 600.000, soit moins de 1 % de la population totale du pays. Au départ, il s’agissait surtout de Juifs ashkénazes, originaires de différents pays européens. Mais depuis les années soixante, la grande majorité d’entre eux est représentée par les Séfarades ou « Juifarabes », venus d’Afrique du nord.

Autant dire qu’ils ne représentent en rien une quelconque communauté homogène. En leur sein, les individus au type européen côtoient ceux à l’aspect négroïde, révélant les véritables origines de chacun. Et pourtant, leur seule référence identitaire commune est de nature généalogique, pour ne pas dire génétique. Serait vraiment « juif  » celui qui a du « sang juif », en principe celui transmis par voie maternelle mais, de facto, une telle distinction est maintenant devenue caduque. Bien des Juifs à l’affirmation identitaire péremptoire doivent leur judéité à un grand-père qui n’avait d’autres soucis que de faire oublier ses encombrantes « racines hébraïques ».

On ne peut ainsi que s’interroger sur les raisons de leur importance actuelle dans divers secteurs « décisifs » de la vie du pays. De deux choses l’une, où ils sont véritablement géniaux, et dans ce cas, il faudrait prendre acte d’une telle supériorité collective qui relève du prodige, ou alors il y a tricherie massive quelque part. Comme eux-mêmes n’oseraient prétendre appartenir à une « race supérieure » spécifique (même si dans le fond, suivant en cela leurs textes religieux, ils en sont réellement persuadés !…), c’est donc qu’il y a anomalie. Ils usurpent une position qui ne devrait pas être la leur et doivent leur succès au détriment des habitants d’origine du pays où ils résident, empêchés de manière déloyale de s’épanouir. Les siècles de grandeur de notre histoire prouvent amplement qu’avant les Juifs, sans les Juifs, nous pouvons de nous-mêmes pourvoir à tous les talents dont notre pays a besoin. L’exorbitante prédominance juive actuelle ne prouve ni leur supériorité, ni notre incompétence.

Une conclusion d’autant plus fondée que, dans le monde occidental, ce n’est pas seulement en France que les Juifs occupent une situation prépondérante, sans rapport avec leur nombre et ce à quoi ils auraient dû normalement avoir droit. Ils ont partout « réussi » avec les mêmes procédés déloyaux, pour finir par provoquer les mêmes réactions de rejet. Une hostilité que l’on s’empresse de qualifier de « racisme » ou d' »antisémitisme », en considérant simplement que cela relève d’une mystérieuse « maladie criminelle » passible de la répression et que l’on doit essayer de prévenir par une intensification de la propagande antiraciste. Davantage de répression, davantage de surveillance et de délation, davantage d’endoctrinements, davantage d’abrutissements généralisés, davantage de désagrégation culturelle, davantage de métissage pour faire disparaître les enracinements et les repères. Davantage de pouvoir aux Juifs.

Une telle situation, devenue pour nous insupportable, nous oblige à une remise en cause, et de nous-mêmes, et des institutions de ce pays qui, chaque jour davantage nous devient plus étranger. Cette fois-ci, c’est la France en tant que pays européen, et les Français en tant que peuple de race blanche, qui risquent de disparaître, mettant fin à une histoire de plusieurs dizaines de millénaires. Personne n’a le droit de nous obliger à subir un tel sort, de renoncer à perpétuer notre identité ancestrale. D’en être fier. Et donc aussi de la défendre activement par tous les moyens.

D’ailleurs, les Juifs eux-mêmes tiennent jalousement à préserver leur particularisme, une des conditions de leur solidarité communautaire, garantissant leur réussite. Ne se targuent-ils pas de descendre d’Abraham, un bédouin arabe ayant vécu il y a près de 4000 ans dont ils s’efforcent de préserver l’héritage génétique en recommandant une stricte endogamie ! Les Juifs ont beau ainsi nous faire croire qu’ils sont comme nous, en réalité, ils sont surtout contre nous. Ceux qui se prétendent « français » ne sont que des hypocrites et de vils imposteurs, espérant profiter de la naïveté ou de la démission de leurs victimes. D’où leur volonté de nous dénaturer, de nous déraciner, sur le sol de notre propre patrie. Il faut pour eux que nous cessions de nous réclamer de nos racines européennes pour ne plus être que de simples résidents de France, comme eux-mêmes, comme n’importe quel immigré. Leur litanie : la France, terre d’immigration ! Terre de brassage ! Terre des Droits de l’Homme. Ce qui pour eux se comprend : de l’Homme juif, avec son regard rivé sur Israël et la défense de ses intérêts impériaux…

Mais ce qui est légitime pour les autres peuples ne pourrait que l’être pour nous-mêmes. Partout, on se réclame avec raison du terroir. Partout, on s’efforce de préserver les traditions, de valoriser les patrimoines collectifs, de réhabiliter les héritages du passé menacés par l’aliénation planétaire de la globalisation. Il est donc pour nous parfaitement justifiable de chercher à défendre notre identité de peuple européen, de race blanche, sur nos terres. Si c’est cela le « racisme », nous devons avoir le courage de l’assumer sans complexe. D’ailleurs, quel peuple au monde ne serait pas alors « raciste » ? En tout cas, certainement pas les Juifs !

Résister à la domination juive qui promet de nous être fatale à brève échéance est pour nous plus qu’un droit, un devoir sacré. Les Juifs sont véritablement nos ennemis mortels, comme ils sont aussi en définitive les ennemis de toutes les nations du monde qu’ils vouent à la corruption de leur identité, à l’avilissement de leur culture, ou même pour les plus vulnérables, à la misère et à une servitude perpétuelle, jusqu’à leur disparition. Déjà au premier siècle, comme le rapporte l’écrivain romain Tacite, on les accusait volontiers de « haïr le genre humain »! Depuis, cela n’a fait qu’empirer.

Ils sont en effet les premiers responsables et les principaux bénéficiaires des idéologies les plus malfaisantes ayant sévi au cours des deux derniers siècles: le capitalisme, le socialo-communisme, l’antiracisme, l’individualisme asocial, le mondialisme néo-libéral… Plusieurs dizaines de millions d’innocents ont péri par les guerres et les révolutions qu’ils ont fomentées et des milliards de gens qui ne leur ont jamais fait le moindre mal vivent maintenant dans l’humiliation et le désespoir. Même la survie de l’humanité se retrouve gravement menacée par la dégradation de la planète dans laquelle ils ont davantage contribué que tout autre groupe, étant donné leur exceptionnelle « réussite »…

Avec la globalisation que personne, en dehors des multinationales et de leurs profiteurs, n’a réellement souhaité, le voisinage des Juifs devient aussi mondial. Les mêmes causes provoquant les mêmes effets, comme fatalement, les sentiments de rejet à leur endroit ne cessent de se développer jusqu’aux recoins de la planète. A croire que ce que l’on qualifie d' »antisémitisme » est véritablement une réaction allergique qui se manifeste au seul contact des Juifs triomphants. Il n’y aurait alors que les abrutis par le discours antiraciste pour s’imaginer que la responsabilité en incombe au « préjugé raciste » qu’il conviendrait de combattre avec davantage d’endoctrinements et de répression. Si l’on veut enrayer le mal, ce n’est pas aux victimes de l’infection qu’il convient de pointer le doigt mais aux agents propagateurs de la maladie. Les Juifs sont porteurs d’antisémitisme, comme le vent du désert est porteur de sable. Tout esprit encore sain ne pourra qu’exprimer une réaction de rejet face aux manifestations intolérables de sémitisme dont ils font continuellement preuve. C’est donc ce dernier qu’il faut combattre si l’on cherche réellement à faire disparaître l’antisémitisme.

Depuis les origines du monothéisme hébraïque, par le biais de la doctrine de l' »élection divine » au profit exclusif de leur tribu, les Juifs se sont d’eux-mêmes exclus de la communauté des nations, rejetées avec mépris comme « goyim ». Aujourd’hui, les membres de ces nations qui se sentent réellement exclus des affaires qui les concernent commencent à s’interroger à leur tour sur la place des Juifs dans le monde. On ne saurait alors douter qu’ils ne tarderont à leur demander des comptes. Ce ne sera jamais que justice. Un ultime espoir pour les opprimés et les vaincus sans défense que l’on a accablé des pires crimes qu’ils n’ont jamais commis. Morceaux choisis du  » Talmud » (livre sacré des Juifs):
« Les Juifs sont la substance même de Dieu, mais les goyim ne sont que la semence du bétail. »
« Les Juifs sont appelés êtres humains, pas les non-juifs qui sont des bêtes. »
« Tuez le meilleur des Gentils (goyim)! »
—– ILS SONT PARTOUT ! —– Version 2.2 – 07/2006 La verité cachée sur les milices et le terrorisme juif en France Dans sa livraison de juin 1991, le mensuel Le Choc du mois publiait une étude intitulée: Milices juives / Quinze ans de terrorisme Le sous-titre en était le suivant: « Groupe d’action juive, Organisation juive de combat, Organisation juive de défense. Sous ces diverses appellations, des activistes juifs ne cessent depuis une quinzaine d’années de semer la terreur, dans la plus totale impunité. Des provocations qui n’ont d’autre but que de susciter des représailles. Comme si certains voulaient que la communauté juive se sente menacée » (p. 7)

L’étude passe en revue, du 19 juin 1976 au 20 avril 1991, cinquante cas d’agressions physiques commises par des Juifs organisés en groupes. Ne sont donc pas mentionnées les agressions physiques, de toute façon assez rares, commises par des individualités juives.
Dans les cinquante cas répertoriés par Le Choc du mois, les victimes se sont comptées par centaines. Chez les victimes de ces milices on relève : mort d’homme, blessures suivies de coma profond, infirmités à vie, séquelles graves ainsi que vitriolage, commission d’actes de barbarie, oeil crevé, tabassage en règle en la présence de policiers ou de gardes refusant d’intervenir, nombreuses hospitalisations, nombreux guet-apens, dont un, au moins, avec la complicité de la presse (cas du journal Libération). La plupart de ces agressions sont passées sous silence par les médias ou brièvement rapportées. Certaines sont approuvées par des publications ou des organisations juives qui, en général, après quelques mots de réprobation, donnent à entendre que les victimes méritent leur sort, que c’est naturel et normal et qu’il ne faut s’attendre, dans l’avenir, à aucune indulgence si jamais on suscite à nouveau la colère des Juifs.
Il est remarquable que pas un seul Juif n’ait été, en revanche, la victime d’une seule attaque d’un seul groupe dit d’extrême droite ou révisionniste (puisque, aussi bien, la presse fait l’amalgame entre révisionnisme et extrême droite alors que le révisionnisme historique est, en réalité, un phénomène qui intéresse tous les groupes de pensée, de l’ultra-gauche à l’extrême droite en passant par tous les partis, sauf le parti communiste, et cela sans compter les apolitiques. Paul Rassinier, fondateur du révisionnisme historique en France, était socialiste).
Parmi les attaques ou les agressions commises par des milices ou des organisations juives, on se bornera à citer celles dont ont été victimes François Duprat, un colloqu e du GRECE, Marc Fredriksen, Charles Bousquet et, à nouveau, Mark Fredriksen, Michel Caignet, Pierre Sidos, Olivier Mathieu, Pierre Guillaume, les Amis de Saint-Loup et Robert Faurisson. Beaucoup d’autres cas seraient à citer de 1976 (où, le 2 novembre, l’immeuble dans lequel habitait Jean-Marie Le Pen devra être entièrement détruit après avoir été ébranlé sur cinq étages lors d’un attentat à la dynamite revendiqué par un « Groupe du souvenir juif ») jusqu’à 1991 (où, le 2 avril, Fabrice Benichou, vendeur à la criée d’un journal de Jean-Edern Hallier, meurt à son domicile après avoir été roué de coups dans le quartier juif du Sentier à Paris).

François Duprat

Membre de la direction du Front national, auteur et diffuseur d’écrits révisionnistes, F. Duprat a été tué le 18 mars 1978 dans sa voiture par l’explosion d’une bombe sophistiquée. Sa femme a été grièvement blessée. L’attentat est revendiqué par un Commando du souvenir. En accord avec Serge et Beate KLARSFELD, l’escroc Patrice CHAIROFF avait publié, dans « Dossier néo-nazisme », Le Monde, 23 mars 1978, p. 7 & 26 avril 1978, p. 9).

Le Droit de vivre, organe de la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme (LICA devenue, par la suite, LICRA), Jean-Pierre BLOCH, directeur de cet organe et de cette publication, commente l’assassinat de F. Duprat sans dire un mot du sort de Mme Duprat. Son commentaire reflète une mentalité cabalistique: Jean-Pierre BLOCH affecte de réprouver un crime inqualifiable mais, pour lui, ce crime est dû au fait que, à l’en croire, s’installent en France en ces années 1977/78 l’anarchie et le règne du règlement de comptes politique et que des appels criminels sont lancés contre les immigrés, des Juifs ou des tziganes. On aura noté que Jean-Pierre BLOCH met ici en regard des actions criminelles incontestables avec des criminels dont il n’indique ni la teneur ni les conséquences dans la réalité. Plus révélateur encore est le passage suivant de sa déclaration: « Oui, c’est vrai ; nous sommes prêts à nous battre et à mourir pour permettre à nos adversaires de dire ce qu’ils pensent en toute liberté, dès lors qu’ils ne font pas l’apologie du crime ou qu’ils n’entretiennent pas la haine raciale ». Replacés dans le contexte d’un assassinat précis, ces mots constituent un avertissement à l’endroit de ceux qui pourraient déplaire aux Juifs en suivant l’exemple de F. Duprat (Le Monde, 7/8 mai 1978).
D’ailleurs, quelques mois plus tard, Jean-Pierre BLOCH, décrivant le professeur Faurisson comme un émule de Louis Darquier de Pellepoix, ancien commissaire général aux Questions juives dans le Gouvernement de Vichy, annonçait: Darquier sera extradé. Ceux qui marchent sur ses traces ne feront pas d’aussi vieux os. Tôt ou tard, ils trouveront les antiracistes sur leur route (Le Droit de vivre, décembre 1978, p. 23). La LICRA a été fondée en 1927 par Bernard LECACHE sous le nom de Ligue contre les pogroms, pour défendre un juif russe qui, l’année précédente, avait assassiné à Paris le général ukrainien Simon Petlioura. Le tapage mené en faveur de l’assassin amena à son acquittement ; le même genre de tapage devait beaucoup plus tard conduire à d’autres acquittements d’assassins (par exemple, le 5 mai 1976, l’acquittement du braqueur et assassin Pierre GOLDMANN).
Dans une chronique du Monde, le journaliste Pierre VIANSSON-PONTE se livrera à une opération de pure délation au sujet d’une brochure révisionniste anglaise qui avait été diffusée en France par F. Duprat; dans cette chronique il s’abstiendra de toute allusion à l’assassinat de F. Duprat ( Le mensonge (suite), Le Monde , 3/4 septembre 1978, p. 9).

Un colloque du GRECE
Le 9 décembre 1979, le XIVe colloque national du GRECE (Groupe d’études et de recherches sur la civilisation européenne) est attaqué par une centaine d’individus casqués qui saccagent des stands de livres. Ces individus déploient des calicots portant le nom de l’ Organisation juive de défense (OJD). Une quinzaine de participants sont blessés. L’un d’entre eux perdra un oeil. Plusieurs assaillants sont arrêtés par la police, puis relâchés le soir-même sur l’intervention de Jean-Pierre Pierre BLOCH, fils de Jean-Pierre BLOCH et ami de Jacques Chirac. Jean-Pierre BLOCH avait été et sera, par la suite, impliqué dans d’autres agressions ou d’autres interventions en faveur d’agresseurs identiques.

Marc Fredriksen
Le 19 septembre 1980, un commando de l’ Organisation juive de défense (OJD) attaque au Palais de justice de Paris des sympathisants de Marc Fredriksen, responsable de la FANE (Fédération d’action nationale et européenne). On relève six blessés, dont deux graves. Les gardes du Palais de justice, pourtant chargés du maintien de l’ordre laissent en fait agir librement les milices juives dans cette circonstance comme dans d’autres circonstances identiques. Quant à Jean-Pierre BLOCH, il déclarera: « La loi du talion pourrait réapparaître [ ]. Si un seul des nôtres est touché, nous appliquerons la formule : oeil pour oeil, dent pour dent [ ]. S’il faut nous organiser militairement nous le ferons ». (Le Monde, 1er octobre 1980). La formule « Si un seul des nôtres est touché » signifie qu’en fait pas un seul Juif n’a été touché. Ce qui était vrai en 1980 reste vrai en 1995. Dans le cadre de leur combat contre les nationalistes ou les révisionnistes, les Juifs touchent, blessent ou tuent mais ne sont ni touchés, ni blessés, ni tués ; si cela avait été le cas, les médias du monde entier auraient publié avec force commentaires des photographies (non suspectes) qui en auraient attesté: Juifs à oeil crevé, à face vitriolée, dans le coma, déchiquetés, hospitalisés, transportés à la morgue, etc. Imagine-t-on l’exploitation qui aurait été faite de ces horreurs sur les cinq continents?

Charles Bousquet, Mark Fredriksen
Le 3 octobre 1980, un attentat a lieu contre la synagogue de la rue Copernic, provoquant quatre morts et vingt-sept blessés. Les quatre morts sont des passants; parmi ceux-ci se trouve une Israélienne dont la présence n’a jamais été expliquée. Christian BONNET, ministre de l’Intérieur, reçoit, dans la journée même, des informations qui lui permettent d’identifier en la circonstance un attentat palestinien mais, sous la pression des organisations juives et avec l’accord de la grande presse, il laisse croire à une action de l’extrême droite. On apprendra par la suite que l’attentat a été effectivement commis par un Palestinien venu de Chypre. Le soir même de l’attentat, les locaux de la FANE sont dévastés et la Librairie française, rue de l’Abbé-Grégoire, fait l’objet d’une nouvelle tentative d’incendie. Cette librairie, dont le propriétaire est Jean-Gilles Malliarakis, connaîtra en quelques années plus de dix attaques ou attentats. Le siège de l’ oeuvre française, de Pierre Sidos, est mitraillé. Des scènes de lynchage se déroulent dans Paris où des groupes de manifestants juifs s’en prennent à de jeunes passants isolés, grands, blonds et à cheveux courts (Le Monde, 9 octobre 1980, p. 12).
Le 7 octobre, à Neuilly, Charles Bousquet, 84 ans, est attaqué et vitriolé à son domicile par un groupe d’inconnus qui l’ont apparemment confondu avec le militant nationaliste Pierre Bousquet (sans rapport avec René Bousquet). Il sera hospitalisé pendant un mois à l’hôpital Foch au service des grands brûlés. Il conservera des séquelles de ses blessures. Il renonce à porter plainte parce que son fils Pierre, professeur d’histoire à l’Université de Paris IV, lui a demandé d’agir ainsi à cause des Israélites: « Ils sont à Jérusalem ou à Tel-Aviv, ceux qui ont fait cela. Tout serait inutile. Je veux oublier. » (interview accordée à R. Faurisson le 2 mai 1984).
Le 12 octobre 1980, Mark Fredriksen est roué de coups et admis, dans un état grave, à l’hôpital de Rambouillet. En son absence, son appartement est dévasté. En traitement à Berck-sur-Mer pour de multiples fractures, il manque de subir une nouvelle agression; trois jeunes gens se présentent qui demandent à le voir; leur signalement correspond à celui du groupe Aziza qui, ultérieurement, vitriolera Michel Caignet (lire ci-dessous ).

Michel Caignet
Le 29 janvier 1981, Michel (Miguel) Caignet, 26 ans, étudiant préparant un doctorat de linguistique anglais-allemand, quitte son domicile de Courbevoie pour se rendre à l’Université lorsqu’il est abordé par quatre individus à proximité de son immeuble. Ceux-ci le renversent, l’immobilisent. L’un des quatre individus lui arrose de vitriol le visage et la main droite.
M. Caignet avait appartenu à la FANE et il était révisionniste. Il avait été dénoncé par l’hebdomadaire VSD (Vendredi/ Samedi/Dimanche). A la suite du vitriolage, son visage est devenu si atroce que seuls deux journaux ont osé en publier la photographie. L’auteur principal de l’agression, Yves Aziza, étudiant en médecine, fils de Charles Aziza (préparateur en pharmacie à Montreuil), a été connu de la police dans l’heure même qui a suivi l’agression mais la police et la justice françaises ont, dans des conditions scandaleuses et dont le détail est connu, laissé tout le temps à Y. Aziza de s’enfuir vers l’Allemagne et vers Israël. Au ministère de la Justice, un dénommé MAIN, appartenant à la direction des Affaires criminelles (directeur Raoul Béteille), élude sur un ton sarcastique toute question sur le retard considérable (quatorze jours !) apporté à l’ouverture d’une instruction judiciaire Parmi les correspondants d’Y. Aziza, on découvre le nom de Daniel ZISKIND, fils de Michèle ZISKIND, sur de Jean-Pierre Pierre BLOCH, lui-même fils de Jean-Pierre BLOCH.

Pierre Sidos
Le 18 septembre 1981, deux cents membres de l’ Organisation juive de combat (OJC) font la loi au Palais de justice de Paris où se déroule le procès en diffamation intenté par Pierre Sidos, président de l’ oeuvre française, à Jean-Pierre BLOCH. Comme d’habitude, les Juifs rouent de coups plusieurs assistants.
Le 25 novembre, les locaux de la librairie Études et documentation sont incendiés par un commando.
Le 8 mai 1988, place Saint-Augustin à Paris, des commandos de l’OJC attaquent à coups de barres de fer des militants de l’ Oeuvre française qui participaient au défilé traditionnel en l’honneur de Jeanne d’Arc; ils font une quinzaine de blessés, dont deux très grièvement atteints. Quatre des personnes agressées seront hospitalisées. Un septuagénaire restera plusieurs semaines dans le coma. Dix membres de l’OJC sont interpellés par la police. Le soir même, Jean-Pierre Pierre BLOCH intervient en leur faveur auprès de la police judiciaire. Des poursuites sont engagées contre quelques agresseurs. Certaines sont abandonnées avec la mention suivante du juge d’instruction: Instruction inopportune. D’autres agresseurs sont jugés, non sans que des pressions venues du plus haut niveau politique se soient exercées sur le parquet. Au total, seuls trois agresseurs seront jugés; ils seront condamnés à deux ans de prison avec sursis!

Olivier Mathieu
Le 6 février 1990, des millions de téléspectateurs ont pu assister à l’agression commise sur la personne d’Olivier Mathieu lors d’une émission animée par Christophe Dechavanne. Jean-Pierre Pierre BLOCH est venu sur le plateau avec un groupe de militants de l’OJC. Olivier Mathieu a juste le temps de lancer : Faurisson a raison. Une dizaine de nervis le rouent de coups ainsi que sa fiancée et Marc Botrel. Un personnage important des milices juives est présent: Moshe COHEN, ancien sous-lieutenant de l’armée israélienne, responsable, à l’époque, du Tagar, la branche étudiante du Betar (59, boulevard de Strasbourg, Paris Xe). Les agressions continuent en dehors du plateau et jusque dans la rue. Un agresseur sera interpellé par la police et relâché quelques heures plus tard sur l’intervention de J ean-Pierre Pierre BLOCH.

Pierre Guillaume
Pierre Guillaume, qui appartient à l’ultra-gauche, est le responsable de la Vieille Taupe, qui a publié des ouvrages révisionnistes, notamment du professeur Faurisson. Il a été la victime d’un nombre important d’agressions, soit contre sa personne à la Sorbonne, dans sa librairie de la rue d’Ulm, au Palais de justice de Paris (où les gardes ne sont pas intervenus), soit contre ses biens (dépôt de livres, matériel vidéo, librairie). En 1991, des groupes de manifestants, principalement juifs, sont venus assiéger sa librairie de la rue d’Ulm de façon régulière et ont fini par obtenir la fermeture de cette librairie en 1992 à force de violences diverses (bris de vitrine, injection de produits chimiques, intimidations physiques et autres).

Les Amis de Saint-Loup
Le 20 avril 1991, à la Maison des Mines, à Paris, une cinquantaine d’individus se réclamant du Groupe d’action juive (GAJ), armés de barres de fer et de battes de base-ball, attaquent les participants d’un colloque organisé en hommage à l’écrivain Saint-Loup (Marc Augier). On relève treize blessés, en majorité des personnées âgées, dont deux très grièvement atteints. Juliette Cavalié, 67 ans, évacuée vers l’hôpital Beaujon, y tombera dans le coma pour une durée d’environ trois mois; reprenant conscience, elle sera condamnée pour le restant de ses jours à ne plus pouvoir s’alimenter seule ni marcher. Le journaliste Alain LEAUTHIER, de Libération , et proche de Julien DRAY, député socialiste et maximaliste juif, a assisté, de bout en bout, aux préparatifs et à la perpétration de l’attaque. Il en fournit un compte rendu satisfait et ironique: « Un commando sioniste s’invite au meeting néo-nazi », Libération, 22 avril 1991, p. 28).

Robert Faurisson
Le professeur a été la victime de dix agressions physiques entre le 20 novembre 1978 et le 31 mai 1993 (deux à Lyon, deux à Vichy, deux à Stockholm et quatre à Paris). Sept de ces agressions sont dues à des organisations ou à des milices juives françaises (deux à Lyon, une à Vichy, une à Stockholm du fait de Juifs français venus par avion de Paris et associés à des Juifs suédois, une à la Sorbonne et une au Palais de justice de Paris).
Le 12 septembre 1987, à la Sorbonne, des membres d’une milice juive ont attaqué Henry Chauveau (grièvement blessé), Michel Sergent, Pierre Guillaume et Freddy Storer (Belge) ainsi que le professeur Faurisson, tous blessés. Les gardes de la Sorbonne ont appréhendé l’un des agresseurs. Un responsable, en civil, de la police a fait relâcher l’agresseur et a utilisé la violence pour expulser le professeur de l’enceinte de l’université. Rappelons que R. Faurisson avait enseigné à la Sorbonne.
Le 16 septembre 1989, un guet-apens était tendu à R. Faurisson près de son domicile, dans un parc de Vichy, par un groupe de trois jeunes gens; sans l’intervention d’un passant, il aurait été achevé à coups de pieds dans la tête. Blessé, il devait subir une longue opération chirurgicale. L’enquête de la police judiciaire confirmera que l’agression était imputable à de jeunes activistes juifs parisiens. La veille de l’agression, R. Faurisson avait noté avec surprise la présence, à proximité de ce parc, d’un certain Nicolas ULLMANN, né en 1963 ; le 12 juillet 1987, ce dernier avait violemment frappé le professeur au Sporting-Club de Vichy. A la police judiciaire, Nicolas ULLMANN, interrogé sur les raisons de sa présence en ces lieux, donnait des réponses vagues et contradictoires; en outre, il prétendait avoir participé, le jour même de l’agression, à Paris, à un bal masqué, d’où l’impossibilité pour quiconque, sinon son hôte et ami, d’attester de sa présence ce jour-là à Paris. Il est à noter que le juge d’instruction de Cusset, près de Vichy, n’a jamais convoqué le professeur pour l’entendre; ce juge, Jocelyne RUBANTEL, ne l’a reçu dans son bureau, comme un criminel, que pour lui signifier qu’elle demanderait un non-lieu. Ce qu’elle a obtenu. Aucune perquisition n’a été opérée au siège du Betar/Tagar à Paris sous prétexte qu’une telle perquisition aurait causé trop de colère dans la communauté juive.
Le 16 octobre 1989, soit un mois, jour pour jour, après l’attentat de Vichy, une bombe explose devant la porte des locaux du Choc du mois, à Paris, qui sont saccagés. L’attentat est revendiqué par l’OJC et des groupes d’extrême gauche. Éric Letty, qui avait consacré un article au professeur Faurisson, aurait été tué par la bombe s’il n’avait pas, par miracle, décelé à temps l’imminence de l’explosion.
La place nous manque pour évoquer ici les autres agressions dont le professeur Faurisson a été la cible.
Autres cas
De nombreux autres cas pourraient être cités d’attaques ou d’agressions en groupe menées par des Juifs: en plus des cas répertoriés par l’article du Choc du mois pour les années 1976-1991, il faudrait prendre en considération les cas non répertoriés et, enfin, des cas qui se sont produits depuis 1992.
Le 14 janvier 1988, à Lyon, le professeur Jean-Claude Allard était hospitalisé à la suite d’une attaque en groupe revendiquée par l’OJC qui lui avait tendu une embuscade sur le parking de l’Université Lyon III; en juin 1985, il avait présidé le jury de la thèse du révisionniste Henri Roques sur les Confessions de Kurt Gerstein (thèse dont la soutenance a été annulée, fait sans précédent dans les annales de l’Université française, sous la pression des Juifs en colère).
Le 13 avril 1994, lors d’une interruption de séance au procès des hooligans du Parc des Princes (l’un, au moins, de ces hooligans était juif), des miliciens juifs armés se livraient à de nouvelles violences; pourtant, ces hooligans avaient fait des victimes parmi les policiers et non parmi des Juifs. Les miliciens s’étaient introduits au Palais de justice avec armes et barres de fer; parmi leurs victimes allait figurer un garde du Palais. Détail intéressant: aucune enquête n’a été décidée pour tirer cette affaire au clair et la seule arrestation a été celle d’un des « militants nationalistes » agressés et qui avait osé se défendre (« Les milices juives font la loi », Le Libre Journal, 27 avril 1994, p. 9. Lire aussi: « Le Betar fait la loi au palais de justice », Rivarol, 22 avril 1994, p. 5).
Le 28 avril 1994, l’Allemand Ludwig Watzal, invité officiel de l’Université de Nanterre, était frappé par des membres d’organisations juives ou de gauche.
Les saccages de librairie ont été nombreux: en plus de Bleu-Blanc-Rouge, d’Ogmios, de la Librairie française, de la Librairie de la Vieille Taupe, on peut citer la Librairie Grégori et la Librairie de la Joyeuse Garde (dans ce dernier cas, bris de vitrine, glu empêchant l’ouverture du rideau de fer, excréments, etc.). Des bureaux, des immeubles, une église (Saint-Nicolas-du-Chardonnet, à Paris, le 21 décembre 1978), des expositions, un dépôt de livres ont été la cible d’attentats revendiqués par des organisations juives.

Le lieu le plus dangereux de France : le Palais de justice de Paris et ses abords

Pour les victimes désignées de ces milices, la ville la plus dangereuse de France est Paris. Dans Paris, l’un des arrondissements les plus dangereux est le premier arrondissement. Dans cet arrondissement, le point le plus dangereux est constitué par le Palais de justice et ses abords immédiats. Pourtant, ce point est particulièrement surveillé par la police puisque le Palais possède son commandement militaire doté de centaines de gardes armés et puisque se trouve, à côté du Palais, le Quai des Orfèvres, siège de la police judiciaire. Mais, précisément, gardes et policiers ont, durant ces dernières années, laissé se perpétrer de nombreuses violences, en particulier contre les révisionnistes convoqués au tribunal ou venus assister aux procès.
Quand une milice juive décide de faire irruption au Palais, le scénario est invariablement le suivant: les nervis, dont le comportement trahit les intentions belliqueuses, ne sont en aucune manière tenus par les gardes à distance des victimes désignées; aucun officier de la garde ne cherche à prendre contact avec le meneur de ces troupes de choc pour lui signifier qu’aucune violence ne sera tolérée ; on laisse les assaillants insulter, provoquer, puis frapper; quelques gardes s’efforcent de protéger quelques victimes; si un militant se signale par une extrême violence, trois gardes l’emmènent précipitamment, puis le libèrent; les victimes sur lesquelles pleuvent les coups ne peuvent ni faire interpeller les brutes, ni connaître leur identité. Une fois que la milice a fait son oeuvre et qu’elle s’éclipse, les gardes se portent vers les victimes ensanglantées ou tuméfiées et affectent un comportement de nounous éplorées.
Le 9 mai 1995, un procès du professeur Faurisson s’est déroulé sans la présence des milices en question. Rien de surprenant à cela : l’avocat Jean-Serge LORACH, représentant les associations parties civiles, déclarait dans sa plaidoirie qu’il avait demandé aux survivants (et aux journalistes) de ne pas venir assister au procès. Mais, en fait, le responsable du Betar/Tagar était présent avec quelques complices devant la XVIIe chambre correctionnelle, puis à la sortie du Palais de justice: Moshe COHEN, en personne. A la sortie du Palais, il surveillait avec quatre hommes, dont l’un muni d’un radio-téléphone, le professeur Faurisson, son avocat et les personnes les accompagnant. Cette équipe disposait d’une voiture banalisée (une R 19 immatriculée 356 JEK 75) rangée sur le trottoir de la grande grille du Palais (en position de départ). Moshe COHEN, l’homme de toutes les basses besognes du Betar/Tagar, était donc là avec l’autorisation du commissaire du Ier arrondissement de Paris, Robert Baujard, et avec l’assentiment du colonel Roger Renault, commandant les gardes du Palais, lesquels avaient pour consigne de répondre aux curieux que cette voiture appartenait à la police.

Collusion du ministère de l’Intérieur et des milices juives

Mme Françoise CASTRO et son époux, Laurent FABIUS sont tous deux juifs. En 1986, à l’époque où Laurent FABIUS était le premier ministre de la France, Françoise CASTRO a révélé que les milices juives et le ministère de l’Intérieur travaillaient main dans la main. Elle a déclaré:

« Extraordinaire nouveauté dans le comportement politique, la gauche a permis à des milices juives de s’installer dans des quartiers de Paris, mais aussi à Toulouse, à Marseille, à Strasbourg [et d’avoir] des contacts réguliers avec le ministre de l’Intérieur. » (Le Monde, 7 mars 1986, p. 8).

Par une sorte d’assentiment général il semble convenu que les Juifs doivent être traités en France comme une minorité privilégiée, dont il faut excuser la « colère » (ce mot revient de façon lancinante dans la presse). Leurs milices sont les seules en France à bénéficier du droit d’être armées (Voir la photographie d’un juif armé d’un pistolet mitrailleur sur le toit d’un immeuble de la rue de Nazareth, Libération, 14 octobre 1986, p. 56). La police judiciaire française est paralysée dans ses enquêtes sur les crimes commis par ces milices (les « jeunes activistes juifs parisiens », comme il lui est arrivé de les appeler pudiquement).
En France, ces milices jouissent d’une garantie d’impunité au moins partielle. Le pire que ses membres aient à craindre est d’avoir à s’exiler pour un temps en Allemagne ou en Israël.

Les apologistes de la violence juive
Simone VEIL, ancien secrétaire général du Conseil supérieur de la magistrature et ancien ministre, présente l’exemple même de ces personnes de la communauté juive française qui incitent à l’assassinat. En 1985, à propos de Klaus Barbie, elle a déclaré: « Écoutez, très sincèrement, je crois que je n’aurais pas été choquée par une exécution sommaire [de Klaus Barbie] » (Le Monde, 24 décembre 1985, P14). Elle a récidivé le 22 avril 1992, lors d’une émission de la seconde chaîne de télévision consacrée à « Vichy, la mémoire et l’oubli », où elle a déclaré à propos du procès Touvier (qui l’avait déçue, malgré la condamnation d’un octogénaire cancéreux à une peine de prison à vie): « Si on voulait un procès dans lequel on parle vraiment des choses, qui ne se termine pas comme le procès Touvier, eh bien, il aurait fallu au fond que quelqu’un, comme moi par exemple, à un moment quelconque froidement assassine quelqu’un. » Cet assassin aurait alors été en mesure, selon Simone VEIL, d’expliquer publiquement les raisons de son acte. Simone VEIL a, une nouvelle fois, récidivé en 1994 à l’occasion de l’assassinat de René Bousquet, perpétré par un illuminé enivré d’appels à la vengeance qui se multipliaient dans toute la presse française et dans les milieux juifs, lorsqu’elle a déclaré: « D’ailleurs, si j’avais eu du courage, je serais allée le tuer moi-même. » (Globe Hebdo, 11-17 mai 1994, P21)
Le 14 décembre 1992, sur les ondes d’une radio américaine, on a pu entendre le professeur Pierre VIDAL-NAQUET déclarer en anglais: « Je hais Faurisson. Si je le pouvais, je le tuerais personnellement. »
La liste serait longue des déclarations incendiaires de responsables juifs français appelant à la violence physique. L’assassinat politique est une pratique à laquelle les Juifs ne répugnent guère. Sur le sujet, on peut lire le récent ouvrage de Nachman BEN-YEHUDA, « Political Assassination by Jews, A Rhetorical Device for Justice », New York, State University of New York Press, 1993, XXII-P527. On sait le rôle considérable joué par les Juifs dans la Révolution bolchevique: LENINE et TROTSKY n’étaient que les deux Juifs les plus sanguinaires de la police politique des Bolcheviks. En France, le chant des partisans a été écrit par deux Juifs, Joseph KESSEL (1898-1979 ) et Maurice DRUON, tous deux membres, par la suite, de l’Académie française; le refrain de ce chant est connu: « Ohé! Les tueurs à la balle et au couteau/Tuez vite! »

Le cas des époux KLARSFELD

Dans sa « Lettre à un képi blanc » (Robert Laffont, 1975), Bernard Clavel écrit: La guerre empoisonne la paix. Regarde cette Allemande, Beate KLARSFELD, qui passe sa vie dans la haine, qui n’existe que pour la vengeance (p.93).
A la suite de l’inculpation de Kurt Lischka, à Cologne, Serge KLARSFELD déclarait le 24 juillet 1978, lors d’une conférence de presse tenue à Paris: « Nous ne cherchons pas la vengeance. Si tel était notre but, il nous aurait été facile d’abattre tous les criminels nazis dont nous avons retrouvé la trace. » « Et si le tribunal de Cologne refusait de juger Lischka? », lui demande-t-on. Réponse de Serge KLARSFELD: « Ce serait en quelque sorte signer son arrêt de mort. » (Le Monde, 26 juillet 1978, p.4)
En 1982, les KLARSFELD louaient les services d’un sicaire, un socialiste bolivien d’origine indienne, du nom de Juan Carlos, pour assassiner Klaus Barbie (Life , février 1985, p.65) mais l’opération devait échouer.
En 1986, Beate KLARSFELD se laissait aller à des confidences dans un journal américain: elle raconte comment elle a pourchassé au moins trois anciens nazis jusqu’à ce qu’ils se suicident ou meurent; comment elle a organisé des tentatives pour en kidnapper d’autres; comment elle a eu recours à des trucs pour obtenir de la presse des gros titres permettant de traîner en justice des gens convaincus que le monde les avait oubliés ou permettant de ruiner leur carrière. Elle raconte comment elle a giflé en public le chancelier allemand Kurt Kissinger en 1968. Une fois, avec plusieurs amis, elle avait essayé de kidnapper Kurt Lischka mais la voiture prévue n’avait malheureusement que deux portes au lieu de quatre. Quant à Ernst Ehlers, harcelé par les manifestations que les KLARSFELD organisaient devant sa maison, il a d’abord démissionné de son poste de juge, puis il s’est suicidé . Les KLARSFELD avaient retrouvé la trace de Walter Rauff au Chili; ils manifestèrent devant son domicile et brisèrent ses fenêtres. L’homme mourut quelques mois plus tard. « J’étais heureuse parce qu’aussi longtemps que ces gens vivent, ils constituent une offense pour leurs victimes. Mon mari et moi, nous ne sommes pas des fanatiques […]. Un jour, mon mari a placé un pistolet sur la tempe de Rauff juste pour lui montrer que nous pouvions le tuer, mais il n’a pas appuyé sur la détente. » (The Chicago Tribune, 29 juin 1986).
En 1988, Serge KLARSFELD déclarait: « Personne ne s’est vraiment mobilisé contre Le Pen. Il aurait fallu provoquer des affrontements pour […] qu’il aille jusqu’au bout de ses positions. » (Le Soir (de Bruxelles) d’après Rivarol, 1er juillet 1988, p.5).
En 1990, lors de la convention de l’Union des étudiants juifs de France se tenant à Lyon où avait enseigné le professeur Faurisson et où enseignait encore Bernard Notin, Serge KLARSFELD déclarait aux étudiants: « Dans votre vie de Juif, passez aux actes pour défendre la mémoire, pour défendre l’État juif. » (Le Progrès de Lyon , 2 novembre 1990, p.6).
En 1991, Beate KLARSFELD s’introduisait en Syrie avec de faux papiers pour renouveler devant le domicile supposé d’Aloïs Brunner (déjà défiguré et sans presque plus de doigts aux mains à la suite de l’explosion de lettres piégées) le type d’opération mené devant les domiciles d’anciens nationaux-socialistes ou devant le domicile (fracturé, pillé et dévasté) de Paul Touvier en 1972.
En 1992, les KLARSFELD organisaient ce que Le Monde appela « L’équipée sauvage du Betar » à Rostock semant la terreur sur la place centrale de l’hôtel de ville de Rostock, drapeaux français et israéliens déployés, traitant les passants de « sales Allemands, sales nazis ! » (Le Monde , 21 octobre 1992, p.4).
Beate KLARSFELD approuvait ensuite l’attaque de l’Institut Goethe à Paris par le Betar et y voyait une violence légitime parce que les policiers de Rostock avaient interpellé quelques agresseurs, pour les relâcher (Der Standard (Vienne), 23 octobre 1992). On avait relevé neuf blessés parmi les policiers dont plusieurs, battus à coups de battes de base-ball et de barres de fer et aspergés de gaz de défense, avaient dû être hospitalisés.
Le 8 juin 1993, René Bousquet, ancien secrétaire général de la police à l’époque du Gouvernement de Vichy, puis déporté par les Allemands, était abattu à son domicile parisien par un illuminé; ce dernier, régurgitant des propos à la KLARSFELD, expliquait son geste comme celui d’un justicier qui, auparavant, avait cherché à abattre Paul Touvier. Annick Cojean, du journal Le Monde, écrivait à propos de Serge KLARSFELD: N’était-il pas le pourfendeur de Bousquet? Celui qui l’a traqué, poursuivi, attaqué, contraint de démissionner de toutes ses responsabilités entre 1978 et 1989? Et ne lui a-t-on pas [par cet assassinat] volé ainsi un procès attendu, préparé de longue date? – L’avocat sourit doucement: « Pourquoi le nier ? Ce que j’éprouve aujourd’hui, c’est avant tout du soulagement. Et tant pis si cela va à l’encontre des intérêts de la cause! Je ne peux pas souhaiter la vie de ces gens-là. C’est plus fort que moi. » (Le Monde , 10 juin 1993, p. 28).
Déjà, le 16 septembre 1989, en apprenant l’attentat perpétré contre le professeur Faurisson, Serge KLARSFELD avait déclaré sur les ondes de Radio J (J pour juive, NDLR): « Ce n’est pas tellement surprenant car quelqu’un qui provoque depuis des années le peuple juif doit s’attendre à ce genre d’événement. On ne peut pas insulter la mémoire des victimes sans qu’il y ait des conséquences. C’est quelque chose, je dirais, de regrettable peut-être, mais de normal et de naturel. »

Beate KLARSFELD, de son côté, affirmait: « Quoi de plus normal que quelques jeunes gens se soient peut-être mis en colère et aient essayé de donner une leçon à Faurisson? » (Le Monde, 19 septembre 1989, p.14)

L’avocat Serge KLARSFELD, officier de l’Ordre national du mérite, n’a jamais caché son goût pour l’action violente dès lors qu’il estime avoir affaire à ceux qu’il appelle des criminels . Son recours au mensonge et au chantage, il ne le cache pas non plus (Lire Arno KLARSFELD, « Pourquoi je suis juif », Information juive, juin 1994, p.9 et Serge KLARSFELD, Lettre à François Mitterrand, Libération, 12 septembre 1994, p.6, où se lit insolemment la phrase suivante adressée au président de la République: « D’où m’est venue l’insolence d’évoquer seul votre passé à Vichy et de vous manipuler [par une fausse information] pour vous diriger dans le bon sens: une lecture vraie des crimes consentis par Vichy? »).

En 1989, à la suite de l’attentat dont il avait été la victime à Vichy, le professeur Faurisson avait confié au Choc du mois (décembre 1989, p. 42-43) des réflexions qui, avec le recul du temps et, en particulier, avec l’assassinat de R. Bousquet, prennent un certain relief comme, par exemple, celle-ci: […] il est aisé [pour les KLARSFELD ou tel conseiller d’ambassade israélien à Paris] d’échauffer les esprits et de susciter l’action de justiciers. » Le professeur concluait: « J’estime […] qu’il existe un terrorisme juif; il est gémissant; les gémissements couvrent les bruits des coups et les cris des victimes […]. Pour me faire taire, il faudra me tuer. Une foule de révisionnistes, en France et à l’étranger, prendra alors la relève. »

Violences autres que physiques
La présente recension porte sur les violences physiques perpétrées par les milices juives. Elle prouve que, dans notre pays, la communauté juive, heureuse comme Dieu en France (proverbe yiddish), bénéficie de privilèges exorbitants.
Des violences qui ne sont pas physiques illustreraient tout aussi bien ces privilèges. Ne prenons que deux exemples : à l’Université Lyon II, Robert Faurisson et, à l’Université Lyon III, Bernard Notin avaient le droit — incontestable aux yeux de la loi — d’exercer leur métier et de reprendre leurs cours. Le Dr Marc ARON en a décidé autrement et, avec lui, des organisations comme l’Union des étudiants juifs de France qui, cyniquement, ont déclaré que pour eux jamais plus ces enseignants ne pourraient travailler. Se sont pliés à cet oukase, sans un murmure, tous les présidents de la République successifs, tous les premiers ministres, tous les ministres de l’Éducation, tous les présidents d’université et tous les syndicats. R. Faurisson a appris, par un courrier ordinaire, plusieurs mois après la décision et sans aucune forme d’explication, que sa chaire de professeur, dont il était titulaire, avait été supprimée. Quand, en juin 1994, Bernard Notin a cru trouver une issue et lorsque Le Monde a annoncé : Bernard Notin part enseigner au Maroc (9 juin 1994, p. 14), on a pu lire que l’annonce de son départ pour l’Université d’Oujda avait provoqué une réaction « scandalisée » de l’Union des étudiants juifs de France (UEJF) qui demande l’annulation de la convention signée entre les deux établissements [français et marocain] et « la radiation définitive de M. Notin du corps enseignant » (Le Monde , 11 juin 1994, p. 6). Dans la grande presse, pas une voix ne s’est élevée pour faire remarquer que le Dr Marc ARON et ses institutions ou organisations enfreignaient gravement les droits de fonctionnaires, entravaient la liberté de travail et causaient un dommage considérable non seulement à des individus mais au fonctionnement normal des institutions de ce pays. Le Dr Marc ARON et ses milices sont obéis dans la crainte et le tremblement. En un premier temps, ils veillent à ce que les professeurs qui suscitent leur colère ne puissent plus exercer leur métier ; en un second temps, ils peuvent compter sur Le Canard enchaîné pour dénoncer le scandale de ces professeurs qui sont payés (à la portion congrue) et ne travaillent pas !
Les représentants de la communauté juive et leurs organes de transmission triomphent dans la répression judiciaire ou médiatique. La force injuste de la loi s’exerce au profit de ce peuple et aux dépens de gens qualifiés d’ anti-juifs; ceux-ci, pour le moindre mot, pour la moindre pensée jugés hérétiques, se voient lourdement condamner. Amendes, dommages-intérêts, peines de prison brisent les vies, détruisent les ménages, accablent les enfants. Les médias, dont jamais ne sèchent les glandes à venin, apportent leur contribution à cette hystérie vengeresse.
A l’étranger, le terrorisme juif semble présenter les mêmes caractéristiques : excepté dans le cadre particulier de la guerre judéo-palestinienne, les Juifs se comportent en agresseurs sans être, de leur côté, physiquement agressés par aucun groupe anti-juif ou réputé tel.

Conclusion

Pour la période ici prise en considération (1976-1995), la France n’a jamais connu de groupes, de commandos ou de milices qui aient exercé des violences physiques sur les Juifs (les attentats arabo-palestiniens sont une autre affaire). Mais cette évidence semble échapper aux observateurs politiques de toutes tendances. Le bilan est, jusqu’ici, le suivant : d’un côté, une cinquantaine d’agressions organisées et perpétrées par des milices armées avec, pour résultat, des centaines de victimes et, de l’autre côté, des agressions physiques et des victimes dont le total s’élève à zéro !
Avec le Betar/Tagar, la minorité juive française possède, en accord avec le ministère de l’Intérieur, des formations paramilitaires dont l’équivalent n’existe pour aucune autre partie de la population française ni pour aucune autre minorité étrangère sur le sol de la France.

Ainsi que le notait Le Choc du mois dans son dossier sur ces milices (juin 1991, p. 11), la cinquième chaîne de télévision française diffusait, le 4 avril 1990, un reportage sur les militants du Betar/Tagar. Un étudiant y était vu se faisant tabasser par les Tagarim à la sortie de la Faculté d’Assas, à Paris. Le 18 mai 1990, la même chaîne de télévision diffusait un second reportage consacré à l’entraînement, calqué sur celui du soldat israélien , que les militants du Betar/Tagar recevaient deux fois par semaine dans un château des environs de Sarcelles (banlieue parisienne): exercices paramilitaires et entraînement au combat rapproché sous les plis du drapeau israélien. En soi, des exercices de ce type peuvent constituer une sorte de simulacre ou de cinéma pour des esprits faibles mais, avec le Betar/Tagar, ces activités trouvent leur expression soit dans des attentats criminels, soit dans des actions de commandos qui bénéficient de l’appui du ministère de l’Intérieur, du soutien (dans les faits sinon dans les paroles) de ligues ou d’organisations dites antiracistes et d’un traitement de faveur de la part des médias.

Annie Kriegel dénonçait en 1990 une insupportable police juive de la pensée (Le Figaro , 3 avril 1990, p.2, et L’Arche , avril 1990, p.25). Effectivement, cette police a force de loi grâce au rabbin SIRAT, qui a lancé l’idée d’une loi anti-révisionniste (Bulletin de l’Agence télégraphique juive, 2 juin 1986, p. 1), et grâce à Laurent FABIUS qui a pu revendiquer à juste titre l’initiative parlementaire du vote de cette loi [Note : François CORDIER, substitut du procureur de la République, a requis le 9 mai 1995 une peine de trois mois d’emprisonnement ferme à l’encontre de Robert Faurisson sur le fondement de la loi SIRAT-FABIUS-GAYSSOT, du 13 juillet 1990; le professeur est, en effet, « coupable » de contester l’existence des chambres à gaz nazies. Le jugement sera rendu le 13 juin 1995 par la XVIIe chambre du tribunal correctionnel de Paris.]
Le répugnant montage médiatique organisé autour de la profanation de tombes juives dans le cimetière de Carpentras (profanation dans laquelle semble impliqué le fils d’un officiant de synagogue) a servi à paralyser toute opposition au vote final de la loi SIRAT-FABIUS-GAYSSOT.
Mais, à côté de cette insupportable police de la pensée, il existe en France une insupportable police armée, de style israélien, qui s’exerce à force ouverte.
Le 7 mai 1995, à Toronto (Canada), la maison du révisionniste Ernst Zündel a été dévastée par un incendie criminel. Quelques jours plus tard, le même E. Zündel recevait un colis piégé (finalement remis à la police, qui l’a fait exploser). Bien d’autres exemples de cette violence – précédée d’une haineuse campagne de presse – seraient à signaler. Sur le sujet, on lira la brochure de Mark Weber « The Zionist Terror Network/Background and Operation of the Jewish Defense League and other Criminal Zionist Groups/A Special Report, Institute for Historical Review » (P.O. Box 2739, Newport Beach, Ca. 92659, USA), Revised and Updated Edition, 1993. En France, de telles violences risquent de se multiplier, si la minorité juive continue à disposer de milices armées.

Nous réclamons la fin du privilège dont bénéficie cette communauté.Il est inadmissible qu’une certaine catégorie de justiciables et les personnes qui les accompagnent aient à redouter de passer directement des environs de la XVIIe chambre correctionnelle (présidée par Martine RACT-MADOUX ou Jean-Yves MONFORT) ou de la XIe chambre de la cour d’appel (présidée par Françoise SIMON ou Violette HANNOUN) à l’hôpital. Il est odieux que des responsables de milices campent à demeure au Palais avec tous les privilèges accordés aux membres des différents corps de la police nationale. —– ILS SONT PARTOUT ! —– Version 2.2 – 07/2006 Citations a propos des Juifs: « Like they say: “he who controls the past, controls the present…” and our perception of past events shapes the way we look at the world around us now. The Zionists understand this and know that the idea of the “Holocaust” is crucial to their power. Which is why such harsh measures are being exacted against those who ask too many questions. » – Rixon Stewart « If France doesn’t want to die in the mud, the last French people worthy of this name must declare a merciless war against all those who, here or abroad, are preparing to open floodgates against her : Jews, Freemasons, Communists… always the same. » – François Mitterrand, 1942 Citations par des Juifs:  » Les Juifs s’intéressent à la Palestine non pas pour des raisons religieuses ou parce qu’elle est mentionnée dans l’Ancien Testament, ni parce que dans la Mer Morte se trouvent des minerais et des métaux pour 5 milliards de dollars, ni même parce que le sol de la Palestine contient des réserves de pétrole 20 fois supérieures à celles des deux Amériques réunies, non, nous les Juifs nous nous intéressons à la Palestine parce qu’elle constitue un noeud de communication entre l’Europe, l’Asie et l’Afrique et, de ce fait, elle possède une importance géostratégique capitale, bref, elle est un centre stratégique militaire pour la domination du monde. » – Nahum Goldmann, Président de l’Organisation Mondiale Sioniste lors du Congrès mondial du Sionisme en 1947

 » Vous devez vous battre de façon indomptable et sans relâche, que ce soit sur le champ de bataille ou le champ de la diplomatie pour réaliser l’empire d’Israël qui comporte le territoire du Nil jusqu’à l’Euphrate  » (David Ben Gourion, premier ministre israëlien, lors d’un discours à des étudiants à l’université hébraïque de Jérusalem en 1950).

« Notre race est la race des maitres. Nous sommes des dieux divins sur cette planete. Nous sommes aussi différents des races inférieures comme ils le sont des insectes. En fait, comparé a notre race, les autres races sont des bêtes et des animaux, un bétail au mieux. Les autres races sont comme l’excrément humain. Notre destin doit être de régner sur ces races inférieures. Notre royaume terrestre sera gouverné par notre chef avec une baguette de fer. Les masses lécheront nos pieds et nous serviront comme des esclaves. » – Menahem Begin, Prix Nobel 1978 « N’oublions pas l’origine du problème : il ne doit plus y avoir de place en Europe pour les peuples non métissés. Les peuples non mélangés appartiennent aux idées périmées du XIXème siècle. Pour passer au XXIème, il ne doit plus exister que des états multi-ethniques. » – Wesley CLARCK, Général américain Commandant en chef des forces de l’OTAN entre 1997 et 2001 (Wesley Clark a dirigé les opérations lors du conflit au Kosovo.) « In America we will aim for subtle victory. While inflaming the Negro minority against the Whites, we will endeavor to instill in the whites a guilt complex for their exploitation of the Negroes. We will aid the Negroes to rise in prominence in every walk of life, in the professions and in the world of sports and entertainment. With this prestige, the Negro will be able to intermarry with the whites and begin a process which will deliver America to our cause. » – Israel Cohen, A Racial Program for the Twentieth Century, 1912 —– ILS SONT PARTOUT !
Annexe: Les Juifs dans les médias (Liste non-exhaustive des Juifs dans les médias quotidiens constituée au cours du mois de décembre 2005) Arte, Forum (Bernard KOUCHNER) Arte, Documentaire (Gérald DAHAN) BFM, Débat. (Michel MARTINEZ, Eric HEYER) BFM, Infos (Ruth ELKRIEFF, Alain KRIVINE) BFM-TV, Infos (Daniel COHN-BENDIT, Eric ZEMMOUR) BFM, Infos (Candice MAHOUT) BFM, Infos (Wolf-Hervé FRIEDMAN, Jean-François COPE) BFM, Infos (Nathalie LEVY) Canal+, Journal (Eric ZEMMOUR, Ariel WIZMAN) Direct8, Matin (Mikaël GUEDJ) Direct8, Matin 10/12/2005 (Guillaume KOSSLA) Direct8, 2ème chance 13/12/2005 (Elisabeth TORDJMAN) Direct8, Débat (Alexandre ADLER) Direct8, Débat (Carine BLOCH, Alain MINC, Philippe COHEN) Europe1, Souchier (Marc FERRO). Europe1, L’interview (Jean-Pierre ELKABBACH, Jack LANG) Europe1, Journal de 7 h (Marc TOUATI). 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SOURCE  :  http://www1.alliancefr.com/actualites/antisemitisme-racisme/document-immonde-501124?replytocom=4462