La Coalition américaine de la Trahison

PRISONNIERMON GRAIN DE SEL :

Mais jusqu’à quand l’Europe restera AVEUGLE. Quand est-ce qu’elle va ouvrir les yeux ? Cette cécité à voir la réalité est d’une PROFONDEUR INSONDABLE.

Mainte et mainte fois écrit et réécrit dans la presse, non aux ordres. Que tout ce micmac, au sujet des groupes de terroristes islamistes. N’EST QU’UN DANGEREUX LEURRE.

On vous leurres, les occidentaux sont roulés dans la farine. ILS SONT PANNÉS  ET FRIT, comme un vulgaire poisson.

Les soit-disant groupes terroristes, sont:

  • CRÉER
  • FORMER
  • FINANCER
  • SOUTIENT LOGISTIQUE
  • INFORMER/RENSEIGNEMENT   

Par les GOUVERNEMENTS OCCIDENTAUX. Les preuves, chaque jours que Dieu fait, il y en a. Qui cherche trouve.

Dites vous bien une chose, qu’il y ai UN ou MILLE ATTENTATS, qu’il y ai UN ou MILLE MORTS. VOS GOUVERNEMENT S’EN TAPE COMME DE L’AN 14.

Il y aura des larmes, mais ce sera des larmes de CROCODILE.

Vos gouvernement sont entrain de réaliser les plans des sionistes. Vos soldats et vos concitoyens meurt pour les sionistes.

Tout ce cinéma ne sert qu’à la réalisation de leurs plans. Le NOUVEL ORDRE MONDIAL tel est l’objectif de toutes ces guerres et ces attentats.

Que les victimes des attentats de Paris reposent en paix.

Elles n’ont absolument rien à voir dans les jeux morbides du gouvernement FRANÇAIS.

ELLES SONT LES VICTIMES INNOCENTES DE LA TRAHISON DE LEUR  GOUVERNEMENT

Publié par :  KAM

=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=-=

La Coalition américaine de la Trahison

La Coalition américaine de la Trahison

Depuis maintenant plusieurs jours, un Général israélien capturé en Irak a été interrogé par, selon toute vraisemblance, des conseillers de la Garde révolutionnaire iranienne pour les milices chiites qui le tiennent actuellement prisonnier. Voici les déclarations de Veterans Today :

« Dr. HASSAIM BOU-SAID, Haut Représentant des affaires étrangères au Congrès des États-Unis et Secrétaire Général du ‘DESI’ (Département Européen pour la Sécurité et l’Information), a confirmé que les forces populaires irakiennes avaient capturé un officier Israélien nommé Yussi Elon Shahak, selon les informations fournies par le Parlement international américain et le Département Européen pour la Sécurité et l’Information ». L’officier a un grade de brigadier et son matricule est le Re 34356578765Az231434.

Bien que des déclarations faites lors de son interrogation aient été publiées, les médias occidentaux ont préféré taire cette affaire. Selon ces déclarations, l’État islamique (ISIS) et le service de renseignement israélien, le Mossad, seraient étroitement liés depuis des années, et les conseillers de l’Armée israélienne rempliraient à la fois les fonctions de renseignement, de commandement et de contrôle auprès des forces militaires de l’État islamique.

En revanche, le Président Obama, qui fait partie du « triumvirat magique de l’imprévisible », avec Netanyahou et Erdogan, a porté des accusations envers le Président syrien Assad pour avoir utilisé du gaz toxique.

Compte tenu des révélations récentes selon lesquelles le Président turc Erdogan aurait renouvelé son approvisionnement en gaz sarin pour l’État Islamique et les forces d’Al Qaïda/Al Nursa en Syrie, les accusations d’Obama sont des signes évidents que le Président américain n’a plus le contrôle de ses facultés, ni de celles des forces militaires américaines présentes sur le terrain.

Au cours des deux dernières semaines, deux attaques américaines distinctes ont eu lieu dans la ville d’Alep et ont endommagé le système électrique de la ville et détruit les systèmes de purification d’eau. Par conséquent, les 2,5 millions d’habitants dépendent désormais de l’eau non traitée du fleuve de l’Euphrate, connu pour être une source de choléra.

Des sources du Pentagone ont confirmé que c’était bel et bien la raison des attaques de l’aviation américaine depuis la base aérienne turque à Incirlik, attaques qualifiées d’ « étranges » par le Président russe Poutine. Il a également été divulgué que ces attaques avaient été planifiées et réalisées par des commandants américains sur le terrain qui n’étaient plus sous le contrôle du Président Obama et du Comité des chefs d’États-majors interarmées.

En réalité, cette structure d’autorité parallèle tenue par un groupe de riches d’extrême-droite, les nostalgiques de Bush, et l’Israël de Netanyahou, dure depuis des années. Ce pouvoir parallèle, souvent évoqué de façon discrète au Pentagone, a été établi par l’ancien Vice-président américain Dick Cheney qui a « forcé » le Commandement des opérations spéciales interarmées (JSOC) et l’a placé de façon inconstitutionnelle sous sa propre surveillance. Au Pentagone, certains pensent que Cheney et l’ancien Secrétaire d’État à la Défense Donald Rumsfeld -bien qu’ils ne fassent plus partie du gouvernement depuis des années- pourraient encore être à la tête d’unités américaines et de forces maritimes puissantes à travers le monde, et plus particulièrement en Europe et au Moyen-Orient.

Il subsiste également de sérieux doutes quant à la sécurité des forces nucléaires américaines, selon Jeff Smith, éditeur de Veterans Today, ancien inspecteur de l’Agence internationale de l’énergie atomique et conseiller pour les questions relatives à la sécurité nucléaire de l’ancien Président Georges H. W. Bush. Smith, ainsi que le Colonel James Hanke, éditorialiste à Veterans Today et ancien responsable du service de renseignements du plus grand commandement nucléaire américain en Europe au plus fort de la Guerre Froide, font le récit intriguant du cercle politique et militaire américain, qui aurait non seulement fait disparaître du matériel nucléaire mais également utilisé de manière injustifiée et secrète des armes nucléaires tactiques.

Cependant, ce qui est particulièrement éloquent, c’est la trahison des États-Unis dans la drôle de guerre contre l’État islamique. Depuis que les Russes se sont impliqués dans la guerre aérienne contre l’ISIS, des tensions dans la région ont atteint des sommets sans précédent. Rien de tout cela n’a à voir avec les opérations aériennes légitimes à l’encontre de l’ISIS et de ses organisations parallèles, bien au contraire. Cela a exposé au grand jour une longue histoire dans laquelle les États-Unis, la Turquie et Israël utilisent leurs forces aériennes pour soutenir les groupes terroristes sur le terrain. Et il ne s’agit pas seulement d’un support aérien direct opéré par la Turquie et Israël de façon illégale dans l’espace aérien syrien contre l’armée syrienne, ni du supposé soutien des Unités de Protection du Peuple (YPG) par les États-Unis, mais également d’un ravitaillement actif des groupes terroristes.

Ces vols de réapprovisionnement effectués par des aéronefs de transport américains, dont le Président Obama admet ouvertement qu’ils fournissent des missiles TOW et Stinger à des groupes armés en Syrie, sont en fait, contrairement à de fausses affirmations qu’il a faites auparavant, quelque chose de bien différent.

Ces avions américains, décollant de la Turquie et du Koweït, approvisionnent des « terroristes modérés » en Syrie et en Irak, en parachutant le ravitaillement à l’Armée syrienne libre et à al Nusra en Syrie, puis volent jusqu’à la province d’Anbar en Irak pour réapprovisionner les unités de l’ISIS qui se battent contre le gouvernement irakien.

Le contingent américain de 3000 soldats actuellement basé à Anbar est considéré par la plupart des factions irakiennes, à l’exception du gouvernement régional kurde à Erbil, comme faisant partie intégrante d’une base protégée de l’ISIS derrière les lignes irakiennes.

L’élément clé qui a changé est l’implication de la Russie en Syrie, et ainsi la nouvelle « vraie coalition » a réuni un centre d’opérations et de renseignement à Bagdad, assuré par une équipe de spécialistes du renseignement militaire irakiens, russes, syriens et iraniens, le tout appuyé par un satellite, un drone et des renseignements d’origine électromagnétiques russes.

De plus, la Russie exerce un pouvoir de plus en plus grand sur l’espace aérien en Syrie avec la présence d’avions de chasse SU-30 et SU-35. Ces avions sont capables de surpasser tout ce que l’on peut voir au cinéma, notamment le F22 et le F15.

En revanche, ce qui est plus révélateur est le facteur du renseignement humain, chose que les États-Unis n’avaient jamais connue avec le Moyen-Orient auparavant. Le réseau constitué de milliers de sources de renseignements sur le terrain et dans toute la région a conduit à la capture du Général israélien Shahak, mais également à l’incroyable succès de la campagne de bombardement russe en Syrie, campagne que le gouvernement de Bagdad aurait pu mettre à profit dans son propre combat s’il n’avait pas cédé au chantage des États-Unis.

Nous pouvons affirmer de manière catégorique que les États-Unis étaient totalement au courant de la forte implication d’Israël avec l’ISIS, et qu’ils ont été, depuis le début, non seulement le soutien de l’État islamique mais bel et bien leur vrai créateur.

Un énorme changement dans l’opinion américaine a eu lieu, que ce soit au sein de l’opinion publique ou du cercle militaire et de renseignement. En supposant qu’il y ait un profond fossé séparant ces communautés en deux groupes, d’un côté les Américains loyaux, et de l’autre ceux qui ont été achetés, victimes de chantage ou contraints d’adhérer de façon douteuse à des opinions religieuses extrêmes, alors il n’existe plus de structure de contrôle efficace ou crédible derrière les forces militaires américaines, y compris les 16 agences de renseignement et les plus de 300.000 mercenaires et sous-traitants militaires privés, dont nombre d’entre eux font partie de l’État islamique.

Parmi ceux qui font partie des communautés de sécurité et de défense américaines, le sentiment belliqueux actuel contre la Russie est perçu comme étant non seulement alarmant mais également comme faisant partie intégrante d’un processus de déstabilisation organisé. Ce processus est un mouvement stratégique mené à l’encontre du gouvernement américain par certains extrémistes, majoritairement les organes de presse.

Les États-Unis bombardent des civils syriens et détruisent leurs infrastructures. La vraie coalition américaine, menée par ces mêmes extrémistes qui détestent les États-Unis, a organisé la crise des réfugiés dans le but de déstabiliser davantage l’Union Européenne.

Les États-Unis sont pleinement complices lors de l’utilisation de gaz toxiques contre les civils syriens et irakiens, et le Président Obama n’a aucune excuse pour justifier son ignorance.

Récemment, les États-Unis ont déployé leurs forces militaires au Cameroun, afin de défendre le pays contre les forces armées qu’ils ont eux-mêmes entraînées et dirigées.

Il en va de même pour toute l’Afrique.

Ils s’emploient également à détruire l’Afghanistan, en y maintenant des troupes afin de sécuriser l’offre mondiale d’héroïne, tout en s’asseyant sur les richesses minérales afghanes.

La carte imprévisible a été la Russie, dirigée par Poutine. Elle fut une source d’inspiration pour les électeurs canadiens qui ont récemment évincé Stephen Harper, un pantin américain. Cela pourrait également se produire en Europe et en Grande-Bretagne.

Avant que cela n’arrive, il n’y aura pas de presse libre vers qui se tourner, mais uniquement un charabia sorti de la bouche d’Obama, un homme dont la politique nationale a été, en grande partie, louable. La situation est claire, l’attitude américaine est de la pure trahison. Leur politique extérieure est anarchique, chaque semaine est de plus en plus dangereuse, caricaturée et invraisemblable. Les gens commencent à s’en rendre compte.

Gordon Duff est un ancien combattant de la marine de la Guerre du Vietnam et a travaillé sur des affaires liées aux prisonniers de guerre et aux vétérans pendant des années. Il a également été consultant pour des gouvernements confrontés à des problèmes de sécurité. Il est rédacteur en chef et Président du Conseil de Veterans Today, notamment pour l’édition en ligne.

Gordon Duff

Traduit par Elodie Ponceau pour  Réseau International

Source : http://journal-neo.org/2015/10/23/america-s-coalition-of-treachery/

SOURCE :  http://reseauinternational.net/la-coalition-americaine-de-la-trahison/

Laisser un commentaire